Mais pour en arriver-là, M. Lacroix a formulé trois exigences : la violence n'est pas une solution, partant elle ne sera plus tolérée ; que les délégations et parties présentes à Khartoum réussissent le dialogue inter-centrafricain, même en s'imposant des compromis ; enfin, à la fin du dialogue, un groupe technique d'appui sera institué dans le but d'identifier des étapes de soutien nécessaires en lien avec le Groupe international de soutien (GIS) à la République centrafricaine.
Il a demandé que la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA), déjà présente sur l'ensemble du territoire, participe à la mise en œuvre des mesures immédiates pour réduire les violences dont les victimes sont les civils.
Ces violences, a-t-il ajouté, empêchent d'attirer les investisseurs, la construction des routes, des écoles et des hôpitaux, la réduction des opportunités d'études pour les jeunes.
Il a également signalé que toutes les agences du système des Nations Unies sont déterminées à intensifier leurs actions dès lors que la sécurité retrouvée le permettrait.
M. Lacroix a prévenu les parties des dangers, dès le lendemain de la signature d'un accord de paix, que sont les manipulations, les fausses nouvelles, pour lesquelles tout le monde est appelé à mener une bataille ; le danger provenant de ceux qui tenteraient de remettre en cause l'accord. Ceux-ci, a-t-il conclu, buteront contre la fermeté de tous.
Il a demandé que la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA), déjà présente sur l'ensemble du territoire, participe à la mise en œuvre des mesures immédiates pour réduire les violences dont les victimes sont les civils.
Ces violences, a-t-il ajouté, empêchent d'attirer les investisseurs, la construction des routes, des écoles et des hôpitaux, la réduction des opportunités d'études pour les jeunes.
Il a également signalé que toutes les agences du système des Nations Unies sont déterminées à intensifier leurs actions dès lors que la sécurité retrouvée le permettrait.
M. Lacroix a prévenu les parties des dangers, dès le lendemain de la signature d'un accord de paix, que sont les manipulations, les fausses nouvelles, pour lesquelles tout le monde est appelé à mener une bataille ; le danger provenant de ceux qui tenteraient de remettre en cause l'accord. Ceux-ci, a-t-il conclu, buteront contre la fermeté de tous.