L'appel, lancé à Dakar, est destiné à couvrir les besoins dans cinq secteurs clés - sécurité alimentaire et nutrition, eau et assainissement, santé, protection, et coordination et services de support- qui pourront subir les impacts de la hausse des prix dans 15 pays-membres de la CEDEAO et la Mauritanie, indique le communiqué.
"Cet appel à la générosité de la communauté internationale va bien au-delà de l'aspect financier. La crise alimentaire et ses effets font ressortir la nécessité de travailler ensemble avec les Etats pour qu'au-delà des réponses de court terme soit également mise en œuvre des solutions systémiques pour résoudre les problèmes liés aux développement socio-économique durable, à l'inéquité de l'économie de marché notamment pour l'accès des plus pauvres aux biens de première nécessité, et aux effets pervers du changement climatique sur le développement", a déclaré Hervé Ludovic De Lys, représentant régional d'OCHA pour l'Afrique de l'Ouest.
L'appel est une plateforme de concertation entre les acteurs humanitaires et ceux du développement et un plaidoyer pour que des solutions durables soient trouvées face aux nouveaux fléaux qui fragilisent une partie des 250 millions de personnes qui vivent en Afrique de l'Ouest, a-t-il ajouté.
Le Programme alimentaire mondial, une des agences onusiennes en première ligne dans la résolution de cette crise, estime que l'Afrique de l'Ouest a été particulièrement affectée par les conséquences de la hausse des prix, surtout dans les pays fortement dépendants en terme d'importations.
"Cet appel à la générosité de la communauté internationale va bien au-delà de l'aspect financier. La crise alimentaire et ses effets font ressortir la nécessité de travailler ensemble avec les Etats pour qu'au-delà des réponses de court terme soit également mise en œuvre des solutions systémiques pour résoudre les problèmes liés aux développement socio-économique durable, à l'inéquité de l'économie de marché notamment pour l'accès des plus pauvres aux biens de première nécessité, et aux effets pervers du changement climatique sur le développement", a déclaré Hervé Ludovic De Lys, représentant régional d'OCHA pour l'Afrique de l'Ouest.
L'appel est une plateforme de concertation entre les acteurs humanitaires et ceux du développement et un plaidoyer pour que des solutions durables soient trouvées face aux nouveaux fléaux qui fragilisent une partie des 250 millions de personnes qui vivent en Afrique de l'Ouest, a-t-il ajouté.
Le Programme alimentaire mondial, une des agences onusiennes en première ligne dans la résolution de cette crise, estime que l'Afrique de l'Ouest a été particulièrement affectée par les conséquences de la hausse des prix, surtout dans les pays fortement dépendants en terme d'importations.