La chef de la diplomatie américaine, qui a effectué une visite d'une journée à Alger, a précisé à l'issue d'une audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, que le suivi des discussions sera assuré par des experts en mode bilatéral et dans le cadre de concertations avec les partenaires de la région, avec l'Union africaine (UA), la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et les Nations Unies "pour essayer de trouver des solutions à ces problèmes".
Dans le même ordre d'idées, Mme Clinton a révélé avoir eu des discussions "très approfondies" avec le chef de l'Etat, sur la situation qui prévaut actuellement dans la région du Sahel, et plus particulièrement au nord du Mali.
Au volet bilatéral, Mme Clinton s'est félicitée de la qualité des relations algéro-américaines qu'elle a qualifiées d'" extrêmement fortes".
"Nous avons souligné le fait que nous venons tout juste de tenir une excellente conférence de dialogue stratégique qui s'est tenue la semaine dernière à Washington", a-t-elle relevé.
La visite de la secrétaire d'Etat américaine en Algérie, la deuxième après celle effectuée en février dernier, intervient à la suite de la première session du dialogue stratégique algéro- américain, tenue le 19 octobre à Washington avec pour objectif de donner une nouvelle impulsion à la concertation politique américano-algérienne.
Début octobre, le général Carter F. Ham, commandant en chef du Commandement des forces armées américaines en Afrique (AFRICOM), a exprimé à Alger son rejet à une intervention militaire pour rétablir la paix dans le nord du Mali. Une vision que partage Alger qui favorise la voix diplomatique dans le règlement de ce conflit.
Dans le même ordre d'idées, Mme Clinton a révélé avoir eu des discussions "très approfondies" avec le chef de l'Etat, sur la situation qui prévaut actuellement dans la région du Sahel, et plus particulièrement au nord du Mali.
Au volet bilatéral, Mme Clinton s'est félicitée de la qualité des relations algéro-américaines qu'elle a qualifiées d'" extrêmement fortes".
"Nous avons souligné le fait que nous venons tout juste de tenir une excellente conférence de dialogue stratégique qui s'est tenue la semaine dernière à Washington", a-t-elle relevé.
La visite de la secrétaire d'Etat américaine en Algérie, la deuxième après celle effectuée en février dernier, intervient à la suite de la première session du dialogue stratégique algéro- américain, tenue le 19 octobre à Washington avec pour objectif de donner une nouvelle impulsion à la concertation politique américano-algérienne.
Début octobre, le général Carter F. Ham, commandant en chef du Commandement des forces armées américaines en Afrique (AFRICOM), a exprimé à Alger son rejet à une intervention militaire pour rétablir la paix dans le nord du Mali. Une vision que partage Alger qui favorise la voix diplomatique dans le règlement de ce conflit.