Cette réunion avait pour but d’évoquer toutes les raisons qui ont amené les importateurs à provoquer la pénurie des produits de premières nécessités, surtout l’huile selon la Ministre du Commerce, en maintenant leurs stocks dans les entrepôts du port de Douala au Cameroun.
La réaction des importateurs et des commerçants fait suite à un arrêté du Ministre du Commerce daté du 11 avril 2012 bloquant le prix des produits de premières nécessités.
L’Arrêté de Mme Marylin Moulium Roosalem s’inscrivait dans les mesures conservatoires à prendre par le gouvernement, car peu de temps après le réajustement à la pompe du prix des hydrocarbures, le prix des produits de premières nécessités avaient vertigineusement grimpé, au point même d’engendrer une inflation généralisées.
Si les importateurs entretiennent, pour une raison ou une autre, la pénurie, la Ministre du Commerce est convaincue qu’il y a quatre types de stock en ce moment disponibles. Ce sont : le stock physique, qui est actuellement dans les entrepôts à Bangui, le stock en cours, qui est en route entre Douala et Bangui, le stock flottant, qui est sur les bateaux, enfin, le stock en prévision, qui est en commande.
Les importateurs, pour leur part, ont évoqué plusieurs raisons, qui ne sont pas de nature à encourager leurs affaires. Ce sont, entre autres, les prix bloqués, qui sont en deçà du prix applicable, d’où la nécessité d’une nouvelle homologation des prix, la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) payée au Cameroun et en Centrafrique, les amendes sur les ponts bascules, les tracasseries policières sur les routes, etc.
Quand bien même la réunion ait été repoussée, pour permettre aux importateurs d’examiner la nouvelle structure des prix proposée dans le projet d’un autre arrêté sur les prix, Mme Marylin Moulium Roosalem a insisté sur le maintien des prix justes et bas, la nécessité de dialoguer, si besoin au cas par cas, sans chercher à mettre l’Etat à genou.
La réaction des importateurs et des commerçants fait suite à un arrêté du Ministre du Commerce daté du 11 avril 2012 bloquant le prix des produits de premières nécessités.
L’Arrêté de Mme Marylin Moulium Roosalem s’inscrivait dans les mesures conservatoires à prendre par le gouvernement, car peu de temps après le réajustement à la pompe du prix des hydrocarbures, le prix des produits de premières nécessités avaient vertigineusement grimpé, au point même d’engendrer une inflation généralisées.
Si les importateurs entretiennent, pour une raison ou une autre, la pénurie, la Ministre du Commerce est convaincue qu’il y a quatre types de stock en ce moment disponibles. Ce sont : le stock physique, qui est actuellement dans les entrepôts à Bangui, le stock en cours, qui est en route entre Douala et Bangui, le stock flottant, qui est sur les bateaux, enfin, le stock en prévision, qui est en commande.
Les importateurs, pour leur part, ont évoqué plusieurs raisons, qui ne sont pas de nature à encourager leurs affaires. Ce sont, entre autres, les prix bloqués, qui sont en deçà du prix applicable, d’où la nécessité d’une nouvelle homologation des prix, la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) payée au Cameroun et en Centrafrique, les amendes sur les ponts bascules, les tracasseries policières sur les routes, etc.
Quand bien même la réunion ait été repoussée, pour permettre aux importateurs d’examiner la nouvelle structure des prix proposée dans le projet d’un autre arrêté sur les prix, Mme Marylin Moulium Roosalem a insisté sur le maintien des prix justes et bas, la nécessité de dialoguer, si besoin au cas par cas, sans chercher à mettre l’Etat à genou.