CONAKRY, 22 juin (Xinhua) -- Compte tenu de la prédisposition d'une rupture de dialogue qui s'instaure actuellement entre les acteurs politiques guinéens, le facilitateur international Said Djinnit presse les pas d'un retour instantané en Guinée, pour la reprise du dialogue politique et social, gage d'une paix et d'une moralisation sociale, a-t-on appris samedi de source proche de la mouvance présidentielle.
Ce retour du facilitateur très attendu par le gouvernement et les principaux protagonistes de la crises guinéenne et par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), permettra de venir au bout de la récente crise politique enregistrée suite à la convocation le 19 juin dernier, au Tribunal de première instance de Dixinn, du leader de l'Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) Cellou Dalein Diallo, par un membre de la mouvance présidentielle Malick Sanhkon se disant victime de diffamation et d'injures publiques, de la part du président de l'UFDG.
Suite donc aux altercations et à l'affrontement entre les jeunes de l'opposition venus accompagner leur leader au TPI de Dixinn et les forces de l'ordre, le domicile de l'homme politique et chef de file de l'opposition a été vandalisé, suivis de plusieurs cas de blessés.
Eu égard à cette situation qui a éclaboussé toute la donne politique et qui a mis en cause les "faibles acquis" du dernier dialogue politique, les leaders du collectif, de l'Alliance pour la démocratique et le progrès (ADP), du Club des républicains (CDR) et du Front d'union pour la démocratie et le progrès (FDP), ont unanimement condamné l'acte dirigé contre leur collège et ont décidé de saisir la communauté internationale sur le danger qui plane autour de la sécurité des leaders politiques.
L'arrivé ce samedi même de Said Djinnit est accueilli favorablement, pour ramener les acteurs politiques autour de la table de négociation sur les questions fondamentale centrées autour de l'organisation des élections législatives, dont la date à déjà fait l'objet de plusieurs reports.
Pour parer à toute éventualité de responsabilités, les leaders de la mouvance ont déjà rencontré la représentation de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CDEAO), pour un entretien d'échange et de mis au point, nous a confié un membre de cette mouvance dans l'anonymat.
Ce retour du facilitateur très attendu par le gouvernement et les principaux protagonistes de la crises guinéenne et par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), permettra de venir au bout de la récente crise politique enregistrée suite à la convocation le 19 juin dernier, au Tribunal de première instance de Dixinn, du leader de l'Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG) Cellou Dalein Diallo, par un membre de la mouvance présidentielle Malick Sanhkon se disant victime de diffamation et d'injures publiques, de la part du président de l'UFDG.
Suite donc aux altercations et à l'affrontement entre les jeunes de l'opposition venus accompagner leur leader au TPI de Dixinn et les forces de l'ordre, le domicile de l'homme politique et chef de file de l'opposition a été vandalisé, suivis de plusieurs cas de blessés.
Eu égard à cette situation qui a éclaboussé toute la donne politique et qui a mis en cause les "faibles acquis" du dernier dialogue politique, les leaders du collectif, de l'Alliance pour la démocratique et le progrès (ADP), du Club des républicains (CDR) et du Front d'union pour la démocratie et le progrès (FDP), ont unanimement condamné l'acte dirigé contre leur collège et ont décidé de saisir la communauté internationale sur le danger qui plane autour de la sécurité des leaders politiques.
L'arrivé ce samedi même de Said Djinnit est accueilli favorablement, pour ramener les acteurs politiques autour de la table de négociation sur les questions fondamentale centrées autour de l'organisation des élections législatives, dont la date à déjà fait l'objet de plusieurs reports.
Pour parer à toute éventualité de responsabilités, les leaders de la mouvance ont déjà rencontré la représentation de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CDEAO), pour un entretien d'échange et de mis au point, nous a confié un membre de cette mouvance dans l'anonymat.