« Tout le peuple centrafricain se joint au gouvernement pour exprimer sa profonde reconnaissance à tous les administrateurs et les dirigeants du FMI ainsi qu’à tous les partenaires au développement et aux pays amis, dont particulièrement la France, qui lui ont exprimé leur solidarité pour aboutir à ce réengagement total et successif des bailleurs de fonds », a déclaré M. Zingas dans un communiqué à la radio nationale.
Selon le porte-parole du gouvernement, ce programme appuyé par la facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance vise à « renforcer la bonne gouvernance en vue de la consolidation de la paix et de la sécurité, consolider la stabilisation du cadre macroéconomique et accélérer la mise en œuvre des réformes structurelles, reconstruire les infrastructures de base et relever le niveau d’intervention dans les secteurs sociaux. »
« 6 milliards et demi F CFA seront provisionnés et réservés au règlement des échéances futures de la dette du FMI en 2007 », a encore affirmé M. Zingas, qui a souligné la volonté de cette institution financière « d’appuyer les efforts accomplis, tant au niveau politique qu’économique par le gouvernement centrafricain. »
L’approbation du dossier centrafricain par le Fmi intervient environ un mois après le réengagement de la Banque mondiale, qui a octroyé, le 28 novembre dernier, une enveloppe de 82 millions de dollars, soit 41 milliards de franc CFA, dont une partie (63 millions de dollars) devrait servir à apurer les arriérés de la République Centrafricaine vis-à-vis de la Banque Mondiale jusqu’au 31 Décembre 2006.
C’est la première fois depuis 6 ans que la République Centrafricaine conclut avec le Fonds monétaire international un programme préparé de longue date par le gouvernement du Premier ministre Elie Doté, qui a dû pour ce faire engager de nombreuses réformes destinées à augmenter les recettes et maîtriser les dépenses de l’Etat.
Parmi ces mesures, il convient de citer le contrôle physique des agents de l’Etat, l’augmentation des prix des hydrocarbures, le relèvement du taux de Tva (19%) et la dissolution de l’administration de la douane, actuellement en cours de réforme.
Selon le porte-parole du gouvernement, ce programme appuyé par la facilité pour la réduction de la pauvreté et la croissance vise à « renforcer la bonne gouvernance en vue de la consolidation de la paix et de la sécurité, consolider la stabilisation du cadre macroéconomique et accélérer la mise en œuvre des réformes structurelles, reconstruire les infrastructures de base et relever le niveau d’intervention dans les secteurs sociaux. »
« 6 milliards et demi F CFA seront provisionnés et réservés au règlement des échéances futures de la dette du FMI en 2007 », a encore affirmé M. Zingas, qui a souligné la volonté de cette institution financière « d’appuyer les efforts accomplis, tant au niveau politique qu’économique par le gouvernement centrafricain. »
L’approbation du dossier centrafricain par le Fmi intervient environ un mois après le réengagement de la Banque mondiale, qui a octroyé, le 28 novembre dernier, une enveloppe de 82 millions de dollars, soit 41 milliards de franc CFA, dont une partie (63 millions de dollars) devrait servir à apurer les arriérés de la République Centrafricaine vis-à-vis de la Banque Mondiale jusqu’au 31 Décembre 2006.
C’est la première fois depuis 6 ans que la République Centrafricaine conclut avec le Fonds monétaire international un programme préparé de longue date par le gouvernement du Premier ministre Elie Doté, qui a dû pour ce faire engager de nombreuses réformes destinées à augmenter les recettes et maîtriser les dépenses de l’Etat.
Parmi ces mesures, il convient de citer le contrôle physique des agents de l’Etat, l’augmentation des prix des hydrocarbures, le relèvement du taux de Tva (19%) et la dissolution de l’administration de la douane, actuellement en cours de réforme.