L'objectif de cet atelier, consacré au renforcement des capacités des femmes leaders et femmes parlementaires sur la paix en République Centrafricaine, est d'outiller les bénéficiaires pour qu'elles soient les ambassadeurs de la paix dans leurs communautés au niveau local.
M. Dimbélé-Nakoé a regretté la faible représentation des femmes dans les instances de décision en République Centrafricaine, la discrimination dont elles sont victimes et la négligence de leurs droits élémentaires.
L'Ambassadeur Moussa Nébié de l'Union africaine a reconnu les rôles que les femmes peuvent jouer au sein de leurs communautés respectives et auprès des hommes, dont certains sont leurs maris et d'autres leurs fils, même si ceux-ci sont leaders de groupe armé.
Des efforts sont faits, a constaté M. Moussa Nébié, par la nomination de femmes à des postes de souveraineté (Défense et Affaires étrangère). La Cour constitutionnelle, a-t-il dit, est dirigée par une femme tandis que la commission Affaires étrangères de l'Assemblée nationale est tenue par une autre. Mais, a-t-il conclu, beaucoup reste à faire.
Dr Maurice Inguéléguélé de l'Institut international de la Démocratie et de l'Assistance Electorale, dont l'acronyme anglais est IDEA, a souligné que les crises en République Centrafricaine trouvent leurs origines dans les modes de gouvernance, excluant souvent les femmes, qui pourtant représentent plus de la moitié de la population globale.
Les modules enseignés à ces femmes portent sur des lois ayant trait aux femmes, le genre et bien d'autres méthodes pacifistes, leur permettant de mieux cerner leur implication dans le processus de paix en République Centrafricaine.
Les localités d'origine des participantes sont : les première et deuxième circonscriptions électorales du 5ème Arrondissement de Bangui, Bakala, Batangafo, Bayanga, Bogangolo, Bossangoa, Dékoa, le Kilomètre 5, Markounda, Ndélé.
Depuis fin 2012, la République Centrafricaine traverse une crise aux conséquences dramatiques, d'où l'implication des femmes pour leur contribution à la paix.
L'atelier de renforcement des capacités des femmes leaders et femmes parlementaires est une initiative du Forum des femmes parlementaires de Centrafrique, créé par un arrêté du président de l'Assemblée nationale centrafricaine portant le numéro 002 du 30 janvier 2017.
Aussitôt dotées de cette institution qu'est le Forum, les femmes parlementaires ont tout fait pour se doter d'un siège dans l'enceinte de l'Assemblée nationale. Elles ont, par ailleurs effectué des missions d'échanges d'expériences au Sénégal et ont pesé de leur poids pour le vote, par acclamation, de la loi sur le genre.
Enfin, cet atelier a été soutenu par l'Union africaine et l'IDEA ainsi que la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA).
M. Dimbélé-Nakoé a regretté la faible représentation des femmes dans les instances de décision en République Centrafricaine, la discrimination dont elles sont victimes et la négligence de leurs droits élémentaires.
L'Ambassadeur Moussa Nébié de l'Union africaine a reconnu les rôles que les femmes peuvent jouer au sein de leurs communautés respectives et auprès des hommes, dont certains sont leurs maris et d'autres leurs fils, même si ceux-ci sont leaders de groupe armé.
Des efforts sont faits, a constaté M. Moussa Nébié, par la nomination de femmes à des postes de souveraineté (Défense et Affaires étrangère). La Cour constitutionnelle, a-t-il dit, est dirigée par une femme tandis que la commission Affaires étrangères de l'Assemblée nationale est tenue par une autre. Mais, a-t-il conclu, beaucoup reste à faire.
Dr Maurice Inguéléguélé de l'Institut international de la Démocratie et de l'Assistance Electorale, dont l'acronyme anglais est IDEA, a souligné que les crises en République Centrafricaine trouvent leurs origines dans les modes de gouvernance, excluant souvent les femmes, qui pourtant représentent plus de la moitié de la population globale.
Les modules enseignés à ces femmes portent sur des lois ayant trait aux femmes, le genre et bien d'autres méthodes pacifistes, leur permettant de mieux cerner leur implication dans le processus de paix en République Centrafricaine.
Les localités d'origine des participantes sont : les première et deuxième circonscriptions électorales du 5ème Arrondissement de Bangui, Bakala, Batangafo, Bayanga, Bogangolo, Bossangoa, Dékoa, le Kilomètre 5, Markounda, Ndélé.
Depuis fin 2012, la République Centrafricaine traverse une crise aux conséquences dramatiques, d'où l'implication des femmes pour leur contribution à la paix.
L'atelier de renforcement des capacités des femmes leaders et femmes parlementaires est une initiative du Forum des femmes parlementaires de Centrafrique, créé par un arrêté du président de l'Assemblée nationale centrafricaine portant le numéro 002 du 30 janvier 2017.
Aussitôt dotées de cette institution qu'est le Forum, les femmes parlementaires ont tout fait pour se doter d'un siège dans l'enceinte de l'Assemblée nationale. Elles ont, par ailleurs effectué des missions d'échanges d'expériences au Sénégal et ont pesé de leur poids pour le vote, par acclamation, de la loi sur le genre.
Enfin, cet atelier a été soutenu par l'Union africaine et l'IDEA ainsi que la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en Centrafrique (MINUSCA).