POLITIQUE
L’objectif de cette formation est de sensibiliser les officiers, sous-officiers et hommes de rang de la défense et de la sécurité sur les impacts des conflits sur les enfants et également préparer les responsables de l’école nationale de gendarmerie à être réceptifs à une possible intégration des droits et de la protection des enfants dans les curricula de leur institution.
Selon les formateurs des formateurs, le soldat est celui qui est capable d’identifier les impacts des conflits armés sur les enfants. Cela peut être détecté au niveau individuel (abandon scolaire, stigmatisation, handicap physique), familial (disparition des parents, changement des rôles sociaux) et communautaire (pertes des valeurs morales, culturelles et physiques).
Tout militaire formé, désormais, devra avoir présent à l’esprit la résolution 1612 et les six engagements y relatifs, entre autres, ne pas tuer ni mutiler les enfants, les recruter et s’en servir comme enfants soldats, violer les filles, etc.
Au cas où l’enfant se reconverti, tout militaire, gendarme ou policier doit assurer sa sécurité et en profiter pour assurer la protection des civils et accorder une attention particulière aux femmes et aux autres enfants et pourvoir à leurs besoins tant en eau, en alimentation qu’en abri. Aussi, ils peuvent collaborer avec les organismes humanitaires. Enfin, les enfants ne devraient pas être séparés de leurs parents.
Cette formation est animée par les vingt cinq formateurs des formateurs des forces de défense et de sécurité qui ont été formés à Boali à 90 km à l’ouest de Bangui en décembre 2010. Ils avaient été recyclés au Camp Kassaï, toujours à Bangui, du 20 au 23 septembre dernier.Le consultant sénégalais Abdoulaye Diouf, suit de très près ces formations.
Cette formation se poursuivra en provinces notamment à Bambari, Berberati et Bouar.
Précisons que lors de la formation, les débats sont très houleux lorsque les forces conventionnelles sont en présence des enfants en armes, qui refusent de désarmer et qui font perdre des hommes dans leurs rangs.
Selon les formateurs des formateurs, le soldat est celui qui est capable d’identifier les impacts des conflits armés sur les enfants. Cela peut être détecté au niveau individuel (abandon scolaire, stigmatisation, handicap physique), familial (disparition des parents, changement des rôles sociaux) et communautaire (pertes des valeurs morales, culturelles et physiques).
Tout militaire formé, désormais, devra avoir présent à l’esprit la résolution 1612 et les six engagements y relatifs, entre autres, ne pas tuer ni mutiler les enfants, les recruter et s’en servir comme enfants soldats, violer les filles, etc.
Au cas où l’enfant se reconverti, tout militaire, gendarme ou policier doit assurer sa sécurité et en profiter pour assurer la protection des civils et accorder une attention particulière aux femmes et aux autres enfants et pourvoir à leurs besoins tant en eau, en alimentation qu’en abri. Aussi, ils peuvent collaborer avec les organismes humanitaires. Enfin, les enfants ne devraient pas être séparés de leurs parents.
Cette formation est animée par les vingt cinq formateurs des formateurs des forces de défense et de sécurité qui ont été formés à Boali à 90 km à l’ouest de Bangui en décembre 2010. Ils avaient été recyclés au Camp Kassaï, toujours à Bangui, du 20 au 23 septembre dernier.Le consultant sénégalais Abdoulaye Diouf, suit de très près ces formations.
Cette formation se poursuivra en provinces notamment à Bambari, Berberati et Bouar.
Précisons que lors de la formation, les débats sont très houleux lorsque les forces conventionnelles sont en présence des enfants en armes, qui refusent de désarmer et qui font perdre des hommes dans leurs rangs.
