L’objectif de cette célébration est de pallier au phénomène de dégradation de l’environnement, caractérisée par les coupes anarchiques de bois servant surtout de source d’énergie.
« Lors des célébrations des journées nationales de l’arbre antérieures auxquelles j’avais personnellement pris part en tant que Premier ministre, s’est souvenu Faustin-Archange Touadéra, les ministres en charge des Forêts et en charge de l’urbanisme avaient été instruits de prendre toutes les dispositions nécessaires pour mettre fin à la progression des constructions anarchiques des propriétés bâties sur la colline de Gbazabangui ».
Malheureusement, a-t-il constaté avec beaucoup d’amertume, « cette colline continue de faire l’objet de nouvelles convoitises ».
Pour exprimer publiquement sa désapprobation, Faustin-Archange Touadéra a clamé que « nul n’est au-dessus de la loi ». Il s’attend à ce que cette colline soit « intégralement protégée », selon l’esprit de la loi de 1997.
Il a particulièrement instruit la Ministre de l’Environnement, du Développement durable, des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, de relancer les activités de reboisement sur toute l’étendue du territoire centrafricain, par la mise en place des pépinières villageoises et de plantations de tecks.
Dans le but de préserver ces investissements, le Président de la République a recommandé au Compte d’Affectation Spéciale de Développement Forestier (CASDF), de garantir le traitement des sentinelles qui seront recrutées.
Le vœu de Faustin Archange Touadéra est de léguer aux générations futures « un patrimoine naturel relativement intact pour leur survie ».
Il faut noter que la colline de Gbazabangui surplombe la ville de Bangui. Les actions anthropiques qui sont menées dans cette zone pourtant protégée ont pour conséquence l’innondation dans la ville en cas de pluie.
« Lors des célébrations des journées nationales de l’arbre antérieures auxquelles j’avais personnellement pris part en tant que Premier ministre, s’est souvenu Faustin-Archange Touadéra, les ministres en charge des Forêts et en charge de l’urbanisme avaient été instruits de prendre toutes les dispositions nécessaires pour mettre fin à la progression des constructions anarchiques des propriétés bâties sur la colline de Gbazabangui ».
Malheureusement, a-t-il constaté avec beaucoup d’amertume, « cette colline continue de faire l’objet de nouvelles convoitises ».
Pour exprimer publiquement sa désapprobation, Faustin-Archange Touadéra a clamé que « nul n’est au-dessus de la loi ». Il s’attend à ce que cette colline soit « intégralement protégée », selon l’esprit de la loi de 1997.
Il a particulièrement instruit la Ministre de l’Environnement, du Développement durable, des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, de relancer les activités de reboisement sur toute l’étendue du territoire centrafricain, par la mise en place des pépinières villageoises et de plantations de tecks.
Dans le but de préserver ces investissements, le Président de la République a recommandé au Compte d’Affectation Spéciale de Développement Forestier (CASDF), de garantir le traitement des sentinelles qui seront recrutées.
Le vœu de Faustin Archange Touadéra est de léguer aux générations futures « un patrimoine naturel relativement intact pour leur survie ».
Il faut noter que la colline de Gbazabangui surplombe la ville de Bangui. Les actions anthropiques qui sont menées dans cette zone pourtant protégée ont pour conséquence l’innondation dans la ville en cas de pluie.