En présence du président centrafricain François Bozizé et de son gouvernement, M. Girma a indiqué que la « solidarité agissante » et multiforme de son pays avait pour ambition de « permettre à ce pays [la RCA] de retrouver au plus vite le chemin de la paix, de la stabilité et du développement. »
C’est pourquoi, a-t-il rappelé, la France a déjà fourni un appui à la Centrafrique dans divers domaines, à savoir la sécurité, la santé, l’aménagement forestier, l’aide budgétaire, l’aide directe à la population et, surtout, la sécurité car, a-t-il souligné, « l’Etat qui doit relever d’innombrables défis à la fois n’a pas à lui seul les moyens de faire face, en même temps, aux nécessités de la reconstruction et aux risques de déstabilisation. »
« L’effort important consenti par la France en faveur de la RCA a pour objectif de permettre aux nouvelles autorités nationales élues de se consacrer à l’essentiel à savoir la consolidation de la paix intérieure par la réalisation des conditions de la relance économique, de la lutte contre la pauvreté et de la bonne gouvernance », a-t-il expliqué.
M. Girma a toutefois relevé que la France « ne pourra pas tout faire » et qu’il appartient au gouvernement centrafricain d’aller au devant des légitimes préoccupations d’autres partenaires, en s’efforçant de restaurer la confiance dans les institutions et les hommes qui les incarnent ainsi que la sécurité, non seulement des personnes et des biens, mais aussi « le respect de règles du jeu clairement énoncées à l’avance » qu’attendent les candidats investisseurs.
S’agissant de la présence française en Centrafrique, il a jugé probable que celle-ci prenne peu à peu de nouvelles formes, c'est-à-dire « moins d’aventures individuelles, d’établissements de longue durée, de générations qui se succèdent et plus de partenariats, de société à capitaux mixtes, d’échanges ponctuels.
Les déclarations de l’ambassadeur de France interviennent au lendemain du survol de la capitale centrafricaine, Bangui, par des mirages F1, arrivés en Centrafrique dans le cadre d’un appui aux forces armées centrafricaines appelées à sécuriser le nord-est du pays où sévissent divers groupes armés.
C’est pourquoi, a-t-il rappelé, la France a déjà fourni un appui à la Centrafrique dans divers domaines, à savoir la sécurité, la santé, l’aménagement forestier, l’aide budgétaire, l’aide directe à la population et, surtout, la sécurité car, a-t-il souligné, « l’Etat qui doit relever d’innombrables défis à la fois n’a pas à lui seul les moyens de faire face, en même temps, aux nécessités de la reconstruction et aux risques de déstabilisation. »
« L’effort important consenti par la France en faveur de la RCA a pour objectif de permettre aux nouvelles autorités nationales élues de se consacrer à l’essentiel à savoir la consolidation de la paix intérieure par la réalisation des conditions de la relance économique, de la lutte contre la pauvreté et de la bonne gouvernance », a-t-il expliqué.
M. Girma a toutefois relevé que la France « ne pourra pas tout faire » et qu’il appartient au gouvernement centrafricain d’aller au devant des légitimes préoccupations d’autres partenaires, en s’efforçant de restaurer la confiance dans les institutions et les hommes qui les incarnent ainsi que la sécurité, non seulement des personnes et des biens, mais aussi « le respect de règles du jeu clairement énoncées à l’avance » qu’attendent les candidats investisseurs.
S’agissant de la présence française en Centrafrique, il a jugé probable que celle-ci prenne peu à peu de nouvelles formes, c'est-à-dire « moins d’aventures individuelles, d’établissements de longue durée, de générations qui se succèdent et plus de partenariats, de société à capitaux mixtes, d’échanges ponctuels.
Les déclarations de l’ambassadeur de France interviennent au lendemain du survol de la capitale centrafricaine, Bangui, par des mirages F1, arrivés en Centrafrique dans le cadre d’un appui aux forces armées centrafricaines appelées à sécuriser le nord-est du pays où sévissent divers groupes armés.