Le président de la jeunesse du 2ème arrondissement de Bangui, Ferdinand-Marcel Ngbokoli a expliqué que les leaders des associations, les groupements et réseaux des jeunes dudit arrondissement sont réunis pour susciter l’engagement de la jeunesse citoyenne.
Il a souligné qu’au cours de ces échanges, les jeunes ont compris la nécessité de protéger les édifices publics et privés de leur circonscription contre les jeunes d’autres localités. Ils ont cité en exemple la destruction de la mosquée du 2ème arrondissement le 1er mai 2017, suite à l’assassinat de l’Abbé Albert Toungoumalé Baba.
Pour lui, les principales préoccupations de la jeunesse centrafricaine, en général, et celle du 2ème arrondissement de Bangui, en particulier, restent l’épineuse question de l’insécurité et de l’éducation.
Dans les 2ème , 5ème et 8ème arrondissements de Bangui, des échanges très animés ont eu lieu à la Maison des jeunes car le 12 août prochain, les représentants de chaque conseil d’arrondissement des jeunes devraient soumettre au président de la République, les préoccupations des jeunes qu’ils ont recensées lors de ces causeries.
Il convient de rappeler que c’est le 12 août 1999 que l’Assemblée générale des Nations-Unies a dédié à la jeunesse cette journée que la jeunesse centrafricaine veut désormais s’approprier.
Il a souligné qu’au cours de ces échanges, les jeunes ont compris la nécessité de protéger les édifices publics et privés de leur circonscription contre les jeunes d’autres localités. Ils ont cité en exemple la destruction de la mosquée du 2ème arrondissement le 1er mai 2017, suite à l’assassinat de l’Abbé Albert Toungoumalé Baba.
Pour lui, les principales préoccupations de la jeunesse centrafricaine, en général, et celle du 2ème arrondissement de Bangui, en particulier, restent l’épineuse question de l’insécurité et de l’éducation.
Dans les 2ème , 5ème et 8ème arrondissements de Bangui, des échanges très animés ont eu lieu à la Maison des jeunes car le 12 août prochain, les représentants de chaque conseil d’arrondissement des jeunes devraient soumettre au président de la République, les préoccupations des jeunes qu’ils ont recensées lors de ces causeries.
Il convient de rappeler que c’est le 12 août 1999 que l’Assemblée générale des Nations-Unies a dédié à la jeunesse cette journée que la jeunesse centrafricaine veut désormais s’approprier.