Prévue pour deux jours, cette session va examiner l’appel à propositions de projets de plateaux techniques de laboratoires existant en matière des changements globaux, de biodiversité, de santé et de transformation des productions en zones forestières d’Afrique Centrale et des Grands Lacs.
L’AUF considère les thématiques proposées comme prioritaires pour le développement des pays d’Afrique centrale.
" Les profondes mutations qui s’opèrent aujourd’hui dans notre sous-région interpellent au plus haut niveau et nous projettent dans des défis majeurs auxquels nous devons faire face. Ainsi, nos chercheurs ont l’obligation d’y travailler avec abnégation afin de trouver des solutions durables", a indiqué Olga Yongo, Vice-recteur de l’Université de Bangui.
La Commission régionale d’experts, qui a pour mission d’évaluer scientifiquement les dossiers présentés dans le cadre des appels d’offres régionaux, doit mesurer les enjeux et faire des évaluations scientifiques qui permettront de retenir des projets appropriés pour relever les défis auxquels les universités sont confrontées, a-t-elle ajouté.
Pour René Joly Assako, président de la CRE, "le résultat attendu pour les membres de la commission de cette session est de tomber sur des projets convaincants parmi les 23 dossiers soumis".
Il a donc exhorté les membres des établissements universitaires de Centrafrique à soumettre leurs projets à la prochaine session et à s’inspirer de la méthode du travail des dossiers soumis car, selon lui, il y a une certaine timidité dans leur participation aux appels d’offre.
L’appel à propositions de projet visant à soutenir des activités de recherches centrées sur une problématique liée aux changements globaux, à la biodiversité ou à la santé en zones forestières d’Afrique Centrale et des Grands Lacs est la toute première session organisée en République centrafricaine.
Cette session, qui sera clôturé le vendredi 21 avril, est la toute première organisée en République Centrafricaine avec la précision des projets retenus.
Il faut rappeler que la dernière session annuelle a eu lieu à Kinshasa, au Congo Démocratique, en 2016.
L’AUF considère les thématiques proposées comme prioritaires pour le développement des pays d’Afrique centrale.
" Les profondes mutations qui s’opèrent aujourd’hui dans notre sous-région interpellent au plus haut niveau et nous projettent dans des défis majeurs auxquels nous devons faire face. Ainsi, nos chercheurs ont l’obligation d’y travailler avec abnégation afin de trouver des solutions durables", a indiqué Olga Yongo, Vice-recteur de l’Université de Bangui.
La Commission régionale d’experts, qui a pour mission d’évaluer scientifiquement les dossiers présentés dans le cadre des appels d’offres régionaux, doit mesurer les enjeux et faire des évaluations scientifiques qui permettront de retenir des projets appropriés pour relever les défis auxquels les universités sont confrontées, a-t-elle ajouté.
Pour René Joly Assako, président de la CRE, "le résultat attendu pour les membres de la commission de cette session est de tomber sur des projets convaincants parmi les 23 dossiers soumis".
Il a donc exhorté les membres des établissements universitaires de Centrafrique à soumettre leurs projets à la prochaine session et à s’inspirer de la méthode du travail des dossiers soumis car, selon lui, il y a une certaine timidité dans leur participation aux appels d’offre.
L’appel à propositions de projet visant à soutenir des activités de recherches centrées sur une problématique liée aux changements globaux, à la biodiversité ou à la santé en zones forestières d’Afrique Centrale et des Grands Lacs est la toute première session organisée en République centrafricaine.
Cette session, qui sera clôturé le vendredi 21 avril, est la toute première organisée en République Centrafricaine avec la précision des projets retenus.
Il faut rappeler que la dernière session annuelle a eu lieu à Kinshasa, au Congo Démocratique, en 2016.