POLITIQUE
Dans son mot de circonstance, M. Kolingba a déclaré que l’organisation de cette assemblée constitue « un pas décisif » pour les acteurs culturels centrafricains car les résolutions qui en découleront « permettront à notre pays de s’inscrire en bonne place dans le processus de mise en œuvre de la convention sur la protection et la promotion de l’expression de la diversité culturelle ».
Selon lui, la diversité culturelle désigne une mosaïque complexe de cultures constituée de différentes composantes qui doivent être traitées de la même manière et sans restriction aucune car, a-t-il poursuivi, « la diversité culturelle apparaît comme l’expression positive d’un objectif général à atteindre, à savoir la mise en valeur et la protection des cultures face au danger du phénomène de l’uniformisation et de la mondialisation ».
Pour ce faire, « nous avons l’obligation forte quant à la création des conditions optimales à la protection de l’expression de nos valeurs culturelles si immenses et diversifiées », a-t-il conclu.
La coordonnatrice sous régionale de l’Afrique centrale, membre du comité international de la direction, Mme Rachel Mamba, a pour sa part rappelé que le réseau international pour la diversité culturelle a vu le jour en 1998 à Stockholm, en Suède, sur la culture et le développement avant d’annoncer que la première édition de la journée internationale de la diversité culturelle sera célébrée le 21 mai prochain dans le monde entier.
Il convient de rappeler que cette assemblée générale constitutive regroupe tous les acteurs culturels de Centrafrique. Ses travaux ont démarré en fin de matinée avec l’examen des projets de Règlement intérieur, du statut et du plan d’action et prendront fin le samedi 5 mai prochain avec l’élection des membres du bureau de la coalition centrafricaine pour la diversité culturelle.
Selon lui, la diversité culturelle désigne une mosaïque complexe de cultures constituée de différentes composantes qui doivent être traitées de la même manière et sans restriction aucune car, a-t-il poursuivi, « la diversité culturelle apparaît comme l’expression positive d’un objectif général à atteindre, à savoir la mise en valeur et la protection des cultures face au danger du phénomène de l’uniformisation et de la mondialisation ».
Pour ce faire, « nous avons l’obligation forte quant à la création des conditions optimales à la protection de l’expression de nos valeurs culturelles si immenses et diversifiées », a-t-il conclu.
La coordonnatrice sous régionale de l’Afrique centrale, membre du comité international de la direction, Mme Rachel Mamba, a pour sa part rappelé que le réseau international pour la diversité culturelle a vu le jour en 1998 à Stockholm, en Suède, sur la culture et le développement avant d’annoncer que la première édition de la journée internationale de la diversité culturelle sera célébrée le 21 mai prochain dans le monde entier.
Il convient de rappeler que cette assemblée générale constitutive regroupe tous les acteurs culturels de Centrafrique. Ses travaux ont démarré en fin de matinée avec l’examen des projets de Règlement intérieur, du statut et du plan d’action et prendront fin le samedi 5 mai prochain avec l’élection des membres du bureau de la coalition centrafricaine pour la diversité culturelle.
