Le Directeur général Ernest Gothar-Bassebé a expliqué qu’au regard du rapport, il a compris que les participants ont internalisé beaucoup de connaissances en vue de juguler la menace de la chenille légionnaire du maïs d’automne.
Il les a exhortés à mettre en application les connaissances acquises lors de cette formation afin de sauver la production du maïs dans notre pays.
Il a une fois de plus remercié l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour son appui financier et technique.
Le Représentant adjoint de la FAO, Alain-Constant a, quant à lui, suggéré que d’autres ateliers sur la chenille légionnaire du maïs d’automne soient organisés au profit des producteurs de maïs pour qu’ils ne puissent pas perdre à l’avenir 2 à 4 tonnes par hectare.
Il a invité ces facilitateurs à venir vers la FAO, qui est disposée à mettre à leur disposition la documentation nécessaire sur l’évolution de la recherche.
Il convient de rappeler qu’à la fin de la formation, les participants dont certains sont de l’ICRA, de l’ACDA et de la FAO, ont reçu des certificats de participation.
Il les a exhortés à mettre en application les connaissances acquises lors de cette formation afin de sauver la production du maïs dans notre pays.
Il a une fois de plus remercié l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour son appui financier et technique.
Le Représentant adjoint de la FAO, Alain-Constant a, quant à lui, suggéré que d’autres ateliers sur la chenille légionnaire du maïs d’automne soient organisés au profit des producteurs de maïs pour qu’ils ne puissent pas perdre à l’avenir 2 à 4 tonnes par hectare.
Il a invité ces facilitateurs à venir vers la FAO, qui est disposée à mettre à leur disposition la documentation nécessaire sur l’évolution de la recherche.
Il convient de rappeler qu’à la fin de la formation, les participants dont certains sont de l’ICRA, de l’ACDA et de la FAO, ont reçu des certificats de participation.