L’échange s’est déroulé en présence de l’ancien ministre, Charles Armel Doubane, de l’ancien député et journaliste, Guy Mouskit et des élèves de l’Institut Gabriel Kpéou (IGK).
L’objectif visé à travers cette activité est surtout d’échanger autour de cet écrivain noir qui a réussi à gagner en 1912, le prix concours avec son livre ‘’Batouala’’ écrit sur le cycle infernal de la colonisation, une période remplie de mauvais souvenirs de l’époque où l’homme blanc considère les noirs comme des animaux.
Selon Christian Aimé Ndotah, cette journée qui correspond à l’anniversaire de René Maran (le 5 novembre 1887), doit être célébrée avec autant de considération pour reconnaitre la personnalité de cet écrivain noir qui a sonné le glas sur les traitements agressifs, sans pitiés réservés aux noirs pendant la colonisation ; maltraités et torpillés juste par sentiment d’humiliation dans un environnement où les récriminations sans fondement contre les nègres sont récurrentes.
« Ce n’est pas de gaité de cœur de reconnaitre les sacrifices de René Maran à travers son roman Batouala, écrit lors de son passage à Grimari, l’une des petites villes coloniales centrafricaines, remplie d’histoire est passé comme un non-évènement », a déclaré monsieur Ndotah.
Selon lui, cette activité donne l’opportunité à l’homme civilisé de reconnaitre les motivations, les engagements et les risques pris par René Maran, inspiré dans son livre romanesque, lorsqu’il dénonce les rapports très difficiles entre le noir et le blanc colonisateur, surtout lorsqu’il clame le poids du racisme imposé par les institutions coloniales sur les noirs.
Notons que le poids du colonialisme dénoncé dans Batouala par René Maran, malgré les clameurs des défenseurs des droits humains, continue de s’exercer, mais sous une autre forme appropriée et adaptée à l’évolution humaine de l’homme noir moderne.
L’objectif visé à travers cette activité est surtout d’échanger autour de cet écrivain noir qui a réussi à gagner en 1912, le prix concours avec son livre ‘’Batouala’’ écrit sur le cycle infernal de la colonisation, une période remplie de mauvais souvenirs de l’époque où l’homme blanc considère les noirs comme des animaux.
Selon Christian Aimé Ndotah, cette journée qui correspond à l’anniversaire de René Maran (le 5 novembre 1887), doit être célébrée avec autant de considération pour reconnaitre la personnalité de cet écrivain noir qui a sonné le glas sur les traitements agressifs, sans pitiés réservés aux noirs pendant la colonisation ; maltraités et torpillés juste par sentiment d’humiliation dans un environnement où les récriminations sans fondement contre les nègres sont récurrentes.
« Ce n’est pas de gaité de cœur de reconnaitre les sacrifices de René Maran à travers son roman Batouala, écrit lors de son passage à Grimari, l’une des petites villes coloniales centrafricaines, remplie d’histoire est passé comme un non-évènement », a déclaré monsieur Ndotah.
Selon lui, cette activité donne l’opportunité à l’homme civilisé de reconnaitre les motivations, les engagements et les risques pris par René Maran, inspiré dans son livre romanesque, lorsqu’il dénonce les rapports très difficiles entre le noir et le blanc colonisateur, surtout lorsqu’il clame le poids du racisme imposé par les institutions coloniales sur les noirs.
Notons que le poids du colonialisme dénoncé dans Batouala par René Maran, malgré les clameurs des défenseurs des droits humains, continue de s’exercer, mais sous une autre forme appropriée et adaptée à l’évolution humaine de l’homme noir moderne.