Quatre jours durant, les journalistes de la presse publique et privée ont découvert les outils et le mécanisme du marché financier dans la zone CEMAC.
Les trois missions assignées à la Cosumaf sont entre autres de protéger l’épargne investie en produits financiers, de veiller à l’information des investisseurs et enfin d’assurer le bon fonctionnement du marché financier et de prévenir les risques systémiques.
Ce séminaire a offert à M. Gandou l'occasion de souligner que « le processus de création d’un marché financier régional a abouti à la mise en place de deux marchés parallèles, la Douala Stocks Exchange (DSX), un marché boursier national, et la Bourse des Valeurs Mobilières d’Afrique Centrale (BVMAC), à caractère régional ».
Selon lui, « cette situation n’est pas viable compte tenu de la réalité et de la taille potentielle de l’économie régionale et recommande un marché financier régional intégré ».
Il convient de rappeler que l’une des priorités de la Cosumaf est d’assurer une diffusion permanente de la réglementation et de la doctrine de ladite institution ainsi qu'une plus grande transparence des procédures applicables, en vue de renforcer la sécurité juridique et encourager l’appropriation des textes par les intervenants et acteurs.
Le directeur de cabinet de la Cosumaf, M. Marcel Ondélé, a indiqué que le marché des titres de la dette assure une meilleure visibilité, une meilleure transparence et une meilleure gouvernance ainsi qu'une incitation à l’amélioration de la gestion de la trésorerie de l’Etat.
Il a par ailleurs annoncé que l’analyse technique d’un marché financier aide les investisseurs à choisir à quel moment ils peuvent acheter des titres, comment les analyser, sachant que cette analyse se base sur la psychologie du marché, sur le comportement du cours et son évolution.
Notons que la Cosumaf, a été créée en 2003, lors d’une réunion des chef d’Etat des pays de la Cemac et que les membres de la Cosumaf ont prêté serment en 2005 à Ndjamena, mais l’opérationnalisation de cette institution a eu lieu en 2008 à son siège à Libreville, au Gabon.
Les trois missions assignées à la Cosumaf sont entre autres de protéger l’épargne investie en produits financiers, de veiller à l’information des investisseurs et enfin d’assurer le bon fonctionnement du marché financier et de prévenir les risques systémiques.
Ce séminaire a offert à M. Gandou l'occasion de souligner que « le processus de création d’un marché financier régional a abouti à la mise en place de deux marchés parallèles, la Douala Stocks Exchange (DSX), un marché boursier national, et la Bourse des Valeurs Mobilières d’Afrique Centrale (BVMAC), à caractère régional ».
Selon lui, « cette situation n’est pas viable compte tenu de la réalité et de la taille potentielle de l’économie régionale et recommande un marché financier régional intégré ».
Il convient de rappeler que l’une des priorités de la Cosumaf est d’assurer une diffusion permanente de la réglementation et de la doctrine de ladite institution ainsi qu'une plus grande transparence des procédures applicables, en vue de renforcer la sécurité juridique et encourager l’appropriation des textes par les intervenants et acteurs.
Le directeur de cabinet de la Cosumaf, M. Marcel Ondélé, a indiqué que le marché des titres de la dette assure une meilleure visibilité, une meilleure transparence et une meilleure gouvernance ainsi qu'une incitation à l’amélioration de la gestion de la trésorerie de l’Etat.
Il a par ailleurs annoncé que l’analyse technique d’un marché financier aide les investisseurs à choisir à quel moment ils peuvent acheter des titres, comment les analyser, sachant que cette analyse se base sur la psychologie du marché, sur le comportement du cours et son évolution.
Notons que la Cosumaf, a été créée en 2003, lors d’une réunion des chef d’Etat des pays de la Cemac et que les membres de la Cosumaf ont prêté serment en 2005 à Ndjamena, mais l’opérationnalisation de cette institution a eu lieu en 2008 à son siège à Libreville, au Gabon.