Les conteurs centrafricains, Robert Denam, Lucien Damballé et Boniface Watanga participent au Fico 2006(Ph. Dagoulou, Acap).jpg
M. Kolingba a déclaré à cette occasion que « personne ne peut oser croire aujourd’hui que la culture ne relève que du folklore, d’une simple distraction dans une boutade édifiante et significative », relevant qu’à travers les différentes éditions organisées, le FICO a transcendé plus haut les valeurs intrinsèques de la culture centrafricaine.
« Le conte et l’oralité sont pour nous des canaux très sûrs d'échange, d’éducation, d’information qui placent un peuple dans une chaîne dynamique de convivialité, facteur de cohésion sociale », a relevé le ministre de la culture, invitant les organisateurs du festival et les acteurs culturels impliqués à s’investir pleinement dans la réalisation des différentes activités prévues dans le cadre de la présente manifestation.
Il a par ailleurs précisé que le gouvernement centrafricain ne ménage aucun effort pour œuvrer en faveur des solutions nécessaires aux difficultés qui se posent non seulement aux responsables des institutions artistiques et culturelles, mais à tout le secteur de la culture en Centrafrique.
L’édition spéciale de ce festival qui va se poursuivre à Bangui, Bimbo, Boali (80 km de Bangui) et Mbaïki (105 km) jusqu’au 20 décembre prochain, offre aux détenteurs de la culture un cadre permanent d’expression et de communication de leur savoir, un cadre d’échanges, de formation et de réflexion sur les voies et moyens pour améliorer et perpétuer les contes et l’oralité et aussi de créer un dialogue entre les générations en vue de faciliter le transfert des savoirs et la préservation du patrimoine immatériel.
En plus des conteurs centrafricains, d’autres conteurs sont venus du Cameroun, de la France et de la Tunisie pour partager la parole, échanger et se connaître à travers leur passion commune.
« Le conte et l’oralité sont pour nous des canaux très sûrs d'échange, d’éducation, d’information qui placent un peuple dans une chaîne dynamique de convivialité, facteur de cohésion sociale », a relevé le ministre de la culture, invitant les organisateurs du festival et les acteurs culturels impliqués à s’investir pleinement dans la réalisation des différentes activités prévues dans le cadre de la présente manifestation.
Il a par ailleurs précisé que le gouvernement centrafricain ne ménage aucun effort pour œuvrer en faveur des solutions nécessaires aux difficultés qui se posent non seulement aux responsables des institutions artistiques et culturelles, mais à tout le secteur de la culture en Centrafrique.
L’édition spéciale de ce festival qui va se poursuivre à Bangui, Bimbo, Boali (80 km de Bangui) et Mbaïki (105 km) jusqu’au 20 décembre prochain, offre aux détenteurs de la culture un cadre permanent d’expression et de communication de leur savoir, un cadre d’échanges, de formation et de réflexion sur les voies et moyens pour améliorer et perpétuer les contes et l’oralité et aussi de créer un dialogue entre les générations en vue de faciliter le transfert des savoirs et la préservation du patrimoine immatériel.
En plus des conteurs centrafricains, d’autres conteurs sont venus du Cameroun, de la France et de la Tunisie pour partager la parole, échanger et se connaître à travers leur passion commune.