L’atelier de validation du projet de loi sur la parité entre les hommes et les femmes en République Centrafricaine avait pour but de soumettre à examen le projet du document initial, appelé à être déposé très bientôt sur la table de l’Assemblée nationale.
A l’occasion de la Journée Internationale de la Femme le 8 mars dernier, le gouvernement de la République Centrafricaine, à travers le Ministère des Affaires sociales, de la Solidarité nationale et de la Promotion du genre, a élaboré un projet de loi portant sur la parité entre les hommes et les femmes en République Centrafricaine.
Ce projet de loi a fait l’objet d’un plaidoyer auprès des autorités politiques et des partenaires au développement.
L’ambition que cache ce projet de loi est de parvenir à réduire sinon éliminer toutes les formes de discrimination fondées sur le sexe, que ce soit en milieu familial, au sein des communautés, dans les organisations étatiques et non étatiques, les instances de décision ou en tout autre lieu.
Le projet de loi sur la parité entre les hommes et les femmes en République Centrafricaine est bâti autour de trois titres et une dizaine d’articles. Le premier titre, sur les dispositions générales, comprend les chapitres sur la définition et le champ d’application. Le titre II, sur le principe de la parité, n’est doté que d’un seul chapitre. Enfin, le titre III, sur les dispositions transitoires, pénales et finales, traite des chapitres portant sur le principe de quota, l’observatoire national, les dispositions pénales et les dispositions finales.
A l’occasion de la Journée Internationale de la Femme le 8 mars dernier, le gouvernement de la République Centrafricaine, à travers le Ministère des Affaires sociales, de la Solidarité nationale et de la Promotion du genre, a élaboré un projet de loi portant sur la parité entre les hommes et les femmes en République Centrafricaine.
Ce projet de loi a fait l’objet d’un plaidoyer auprès des autorités politiques et des partenaires au développement.
L’ambition que cache ce projet de loi est de parvenir à réduire sinon éliminer toutes les formes de discrimination fondées sur le sexe, que ce soit en milieu familial, au sein des communautés, dans les organisations étatiques et non étatiques, les instances de décision ou en tout autre lieu.
Le projet de loi sur la parité entre les hommes et les femmes en République Centrafricaine est bâti autour de trois titres et une dizaine d’articles. Le premier titre, sur les dispositions générales, comprend les chapitres sur la définition et le champ d’application. Le titre II, sur le principe de la parité, n’est doté que d’un seul chapitre. Enfin, le titre III, sur les dispositions transitoires, pénales et finales, traite des chapitres portant sur le principe de quota, l’observatoire national, les dispositions pénales et les dispositions finales.