« La situation est calme, elle est sous contrôle, des éléments centrafricains sont déployés à Birao, des gendarmes et des policiers sont également déployés à la frontière du Soudan, à Amdafock, et je peux dire que ce sont des éléments extrêmement rassurants », a indiqué M. Dureau au cours d’un point de presse à l’aéroport de Bangui M’poko, ajoutant que « les institutions publiques ont repris leur cours et ceci est également un facteur extrêmement positif ».
Il a toutefois signalé que « la situation reste fragile pour les raisons que nous connaissons tous et qu’il va falloir concentrer nos efforts tous ensemble pour continuer à améliorer la situation, qu’elle soit sécuritaire ou humanitaire dans la région nord-est de la République Centrafricaine ».
M. Dureau a rappelé que « si cette mission est revenue à deux reprise à Birao en novembre dernier et de retour en janvier 2007, c’est suite à une demande expresse du Président de la République, François Bozizé, pour obtenir une aide des Nations-Unies et de la Communauté Internationale, afin d’éviter une aggravation de la situation dans la sous-région ».
Interrogé sur l’éventualité du déploiement d’une force aux frontières du Soudan, du Tchad et de la République Centrafricaine, il a indiqué que la décision finale appartiendra au Conseil de sécurité « en fonction des éléments d’information que nous leur rapporterons ».
Arrivée En République Centrafricaine le 30 janvier dernier, cette seconde mission de l’Onu a quitté Bangui vendredi en milieu d’après-midi, après un déplacement à Birao (1087 km au nord-est de Bangui) plusieurs rencontres avec les autorités centrafricaines.
Il a toutefois signalé que « la situation reste fragile pour les raisons que nous connaissons tous et qu’il va falloir concentrer nos efforts tous ensemble pour continuer à améliorer la situation, qu’elle soit sécuritaire ou humanitaire dans la région nord-est de la République Centrafricaine ».
M. Dureau a rappelé que « si cette mission est revenue à deux reprise à Birao en novembre dernier et de retour en janvier 2007, c’est suite à une demande expresse du Président de la République, François Bozizé, pour obtenir une aide des Nations-Unies et de la Communauté Internationale, afin d’éviter une aggravation de la situation dans la sous-région ».
Interrogé sur l’éventualité du déploiement d’une force aux frontières du Soudan, du Tchad et de la République Centrafricaine, il a indiqué que la décision finale appartiendra au Conseil de sécurité « en fonction des éléments d’information que nous leur rapporterons ».
Arrivée En République Centrafricaine le 30 janvier dernier, cette seconde mission de l’Onu a quitté Bangui vendredi en milieu d’après-midi, après un déplacement à Birao (1087 km au nord-est de Bangui) plusieurs rencontres avec les autorités centrafricaines.