Le rapport du Secrétaire général des Nations Unies sur la République Centrafricaine comporte 12 points, des observations et des recommandations. Les points évoqués portent, entre autres, sur la situation politique, les conditions de sécurité, le Désarmement, Démobilisation et Réintégration (DDR), la réforme du secteur de la sécurité, la situation économique, la situation humanitaire, l’appui au relèvement et au développement, les droits de l’homme et l’Etat de droit, la protection des enfants et la consolidation de la paix.
Au sujet de la situation politique, le rapport a fait allusion aux élections partielles de juillet 2011, organisée par un comité de transition et qui a permis de pourvoir les 104 sièges à l’Assemblée nationale. La réforme du Code électoral est même citée dans cette rubrique.
Pour ce qui est des conditions de sécurité, il est fait mention de ce que les forces nationales de sécurité et de défense n’assurent pas l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire, faute de moyens. Raison pour laquelle, des groupes rebelles avec de nombreux combattants sont présents sur le territoire de la République Centrafricaine.
Toutefois, a mentionné le rapport, des efforts dans le domaine de la paix ont permis à certains groupes rebelles de signer un accord de paix. C’est le cas de la Convention des Patriotes pour la Justice et la Paix (CPJP) et l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR).
Seulement, a poursuivi le rapport, le rebelle tchadien Baba Ladé a constitué une entorse à la paix malgré les efforts de médiations du Médiateur de la République, Mgr Paulin Pomodimo.
Concernant le DDR, le rapport a précisé que ce programme est bien avancé dans les préfectures de l’Ouham Pendé, localité dans laquelle les rebelles désarmés et démobilisés ont reçu 100.000 francs chacun et leurs chefs 270.000 chacun.
Du point de vue de la sécurité, le rapport a précisé que le gouvernement a le plus un penchant pour la réforme militaire.
Abordant la question socioéconomique, le rapport a relevé les tensions sociales fondées sur les multiples revendications sociales et « les dérives fiscales qui a abouti à l’accumulation d’arriérés de paiements intérieurs.
Quant à la situation humanitaire, elle a été dominée, selon le rapport, par l’affrontement entre factions rebelles dans le nord-est et qui a engendré de nombreux déplacés.
Dans cette rubrique, le Programme des Nations Unies est intervenu pour accompagner environ 280.000 personnes censées être vulnérables.
Afin d’appuyer le relèvement et le développement, le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) a construit des salles de classe pour accueillir à peu près 160.000 enfants. Faute d’enseignants, des parents-enseignants ont également été formés.
Concernant la protection des enfants, l’UNICEF a œuvré à la démobilisation des enfants recrutés dans les rangs de la CPJP.
Sur d’autres plans, le gouvernement a tout fait l’enregistrement des naissances.
Au chapitre des Droits de l’homme, le rapport a mis l’accent sur « les violences perpétrées contre les civils tant par les forces de sécurité que par les groupes armés ». Il est également fait mention des lynchages de certaines personnes accusées de sorcellerie. Le procès de deux journalistes inculpés pour diffamation a également été cité dans ce chapitre.
Le rapport a également fait ressortir les nombreuses actions menées par le gouvernement, en partenariat avec les agences du système des Nations Unies. Il s’agit de la formation des forces de défense et de sécurité, l’accompagnement du DDR, la formation des femmes dans le sens des activités génératrices de revenus,
Au sujet de la situation politique, le rapport a fait allusion aux élections partielles de juillet 2011, organisée par un comité de transition et qui a permis de pourvoir les 104 sièges à l’Assemblée nationale. La réforme du Code électoral est même citée dans cette rubrique.
Pour ce qui est des conditions de sécurité, il est fait mention de ce que les forces nationales de sécurité et de défense n’assurent pas l’autorité de l’Etat sur toute l’étendue du territoire, faute de moyens. Raison pour laquelle, des groupes rebelles avec de nombreux combattants sont présents sur le territoire de la République Centrafricaine.
Toutefois, a mentionné le rapport, des efforts dans le domaine de la paix ont permis à certains groupes rebelles de signer un accord de paix. C’est le cas de la Convention des Patriotes pour la Justice et la Paix (CPJP) et l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR).
Seulement, a poursuivi le rapport, le rebelle tchadien Baba Ladé a constitué une entorse à la paix malgré les efforts de médiations du Médiateur de la République, Mgr Paulin Pomodimo.
Concernant le DDR, le rapport a précisé que ce programme est bien avancé dans les préfectures de l’Ouham Pendé, localité dans laquelle les rebelles désarmés et démobilisés ont reçu 100.000 francs chacun et leurs chefs 270.000 chacun.
Du point de vue de la sécurité, le rapport a précisé que le gouvernement a le plus un penchant pour la réforme militaire.
Abordant la question socioéconomique, le rapport a relevé les tensions sociales fondées sur les multiples revendications sociales et « les dérives fiscales qui a abouti à l’accumulation d’arriérés de paiements intérieurs.
Quant à la situation humanitaire, elle a été dominée, selon le rapport, par l’affrontement entre factions rebelles dans le nord-est et qui a engendré de nombreux déplacés.
Dans cette rubrique, le Programme des Nations Unies est intervenu pour accompagner environ 280.000 personnes censées être vulnérables.
Afin d’appuyer le relèvement et le développement, le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) a construit des salles de classe pour accueillir à peu près 160.000 enfants. Faute d’enseignants, des parents-enseignants ont également été formés.
Concernant la protection des enfants, l’UNICEF a œuvré à la démobilisation des enfants recrutés dans les rangs de la CPJP.
Sur d’autres plans, le gouvernement a tout fait l’enregistrement des naissances.
Au chapitre des Droits de l’homme, le rapport a mis l’accent sur « les violences perpétrées contre les civils tant par les forces de sécurité que par les groupes armés ». Il est également fait mention des lynchages de certaines personnes accusées de sorcellerie. Le procès de deux journalistes inculpés pour diffamation a également été cité dans ce chapitre.
Le rapport a également fait ressortir les nombreuses actions menées par le gouvernement, en partenariat avec les agences du système des Nations Unies. Il s’agit de la formation des forces de défense et de sécurité, l’accompagnement du DDR, la formation des femmes dans le sens des activités génératrices de revenus,