M. Sallé a déclaré que certains agents mal intentionnés de ce service, se permettent de délivrer les cartes d’identité aux étrangers, alors que cette carte est destinée essentiellement aux Centrafricains d’origine. « Les dispositions sont prises pour sanctionner sévèrement les responsables de ces actes », a-t-il précisé.
Le ministre a expliqué que la carte nationale d’identité s’obtient sur présentation de l’original d’acte de naissance du candidat, pour ce qui concerne les centrafricains d’origine, et du décret de naturalisation pour les étrangers.
Interrogé sur la situation des citoyens de provinces et le délai d’exécution du projet de délivrance de la carte nationale d’identité, Michel Sallé a répondu que les choses se limitent encore pour l’instant à Bangui, le temps que les conditions de travail dans les provinces soient réunies.
S’agissant du délai, il a expliqué que le projet prévoit que dans deux ans, tous les Centrafricains aient leur nouvelle carte nationale d’identité.
Il a enfin demandé aux citoyens de la capitale de se faire enregistrer rapidement afin d’obtenir cette pièce, qui va permettre aux autorités de connaître les vrais Centrafricains, en vue de la restauration d’une véritable sécurité dans le pays.
Le ministre a expliqué que la carte nationale d’identité s’obtient sur présentation de l’original d’acte de naissance du candidat, pour ce qui concerne les centrafricains d’origine, et du décret de naturalisation pour les étrangers.
Interrogé sur la situation des citoyens de provinces et le délai d’exécution du projet de délivrance de la carte nationale d’identité, Michel Sallé a répondu que les choses se limitent encore pour l’instant à Bangui, le temps que les conditions de travail dans les provinces soient réunies.
S’agissant du délai, il a expliqué que le projet prévoit que dans deux ans, tous les Centrafricains aient leur nouvelle carte nationale d’identité.
Il a enfin demandé aux citoyens de la capitale de se faire enregistrer rapidement afin d’obtenir cette pièce, qui va permettre aux autorités de connaître les vrais Centrafricains, en vue de la restauration d’une véritable sécurité dans le pays.