A droite la Présidente de la Cnopcaf,Mme Guerel Baïlé, photo-ACAP/Bada
Selon les organisateurs, cet atelier devrait aboutir à l’adoption des stratégies et d’une politique de commercialisation des produits agricoles. Cette rencontre devrait également donner l’occasion aux partenaires de se familiariser avec la Cnopcaf en vue de l’appuyer dans la recherche de la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté en milieu rural.
« Mon vœux le plus ardent est que cette organisation qui vient de naître soit appuyée par tout le monde, et qu’elle soit un symbole de renforcement du partenariat et du synergie nécessaire qui doit se construire et exister entre le organisations paysannes, de la sous région d’Afrique centrale », a souhaité la présidente de la Cnopcaf, Mme Odette Guerel Baïlé.
Elle a également indiqué que les défis de l’organisation sont nombreux, notamment la structuration du monde rural et sa propre prise en main des divers domaines qui touchent le paysan et la gouvernance, l’accès aux moyens de production et la promotion des systèmes agroalimentaires durables, la préservation de la sécurité alimentaire et sa souveraineté, la santé et le bien-être des populations rurales, l’accès au marché et la régulation des échanges, la place des femmes et des jeunes des zones rurales dans l’économie centrafricaine.
« Le retard qu’accuse la sous région nous amène inévitablement à conclure que les piliers sur lesquels reposent son développement ne sont pas suffisamment maîtriser, ou négligemment exploités. Et l’un de ces piliers, c’est l’agriculture », a quant à lui relevé le ministre du développement rural, M. Fidèle Guandjika.
Il a énuméré quelques produits vivriers dont la culture est selon lui délaissée. Entre autres le mais, le riz, le mil, le sorgho, les tubercules, les cultures maraîchères et fruitières. Ce qui a comme conséquences la dépendance et l’insécurité alimentaire dans la sous région.
« Si nous soutenons l’organisation de cet atelier, c’est parce que nous sommes convaincus qu’ensemble, nous avons un combat à gagner », a-t-il ajouté.
Pour M. Fidèle Gouandjika, « nous devrons donc construire un véritable dialogue, afin de permettre la prise en compte des préoccupations réelles des organisations paysannes pauvres, dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques du développement agricole ».
Il a conclu en rassurant la Cnopcaf du soutien du gouvernement et a invité les autres partenaires financiers et techniques à se joindre à l’effort du gouvernement dans la recherche de l’autosuffisance alimentaire et la lutte contre la pauvreté en milieu rural.
Financé par le Fonds international pour le développement agricole (Fida), cet atelier qui débuté le 24 février 2010 prendra fin le 25 prochain.
« Mon vœux le plus ardent est que cette organisation qui vient de naître soit appuyée par tout le monde, et qu’elle soit un symbole de renforcement du partenariat et du synergie nécessaire qui doit se construire et exister entre le organisations paysannes, de la sous région d’Afrique centrale », a souhaité la présidente de la Cnopcaf, Mme Odette Guerel Baïlé.
Elle a également indiqué que les défis de l’organisation sont nombreux, notamment la structuration du monde rural et sa propre prise en main des divers domaines qui touchent le paysan et la gouvernance, l’accès aux moyens de production et la promotion des systèmes agroalimentaires durables, la préservation de la sécurité alimentaire et sa souveraineté, la santé et le bien-être des populations rurales, l’accès au marché et la régulation des échanges, la place des femmes et des jeunes des zones rurales dans l’économie centrafricaine.
« Le retard qu’accuse la sous région nous amène inévitablement à conclure que les piliers sur lesquels reposent son développement ne sont pas suffisamment maîtriser, ou négligemment exploités. Et l’un de ces piliers, c’est l’agriculture », a quant à lui relevé le ministre du développement rural, M. Fidèle Guandjika.
Il a énuméré quelques produits vivriers dont la culture est selon lui délaissée. Entre autres le mais, le riz, le mil, le sorgho, les tubercules, les cultures maraîchères et fruitières. Ce qui a comme conséquences la dépendance et l’insécurité alimentaire dans la sous région.
« Si nous soutenons l’organisation de cet atelier, c’est parce que nous sommes convaincus qu’ensemble, nous avons un combat à gagner », a-t-il ajouté.
Pour M. Fidèle Gouandjika, « nous devrons donc construire un véritable dialogue, afin de permettre la prise en compte des préoccupations réelles des organisations paysannes pauvres, dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques du développement agricole ».
Il a conclu en rassurant la Cnopcaf du soutien du gouvernement et a invité les autres partenaires financiers et techniques à se joindre à l’effort du gouvernement dans la recherche de l’autosuffisance alimentaire et la lutte contre la pauvreté en milieu rural.
Financé par le Fonds international pour le développement agricole (Fida), cet atelier qui débuté le 24 février 2010 prendra fin le 25 prochain.