La Convention de Kinshasa sur les armes légères et soumise à la signature des Etats parties le 30 avril 2010, vise à prévenir, combattre et éliminer le commerce illicite des armes légères et de petit calibre, de leurs munitions et toutes pièces et composantes pouvant servir à leur fabrication et assemblage.
Les Etats parties sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Démocratique du Congo, Sao Tomé et Principe et la Tchad.
Le Ministre de la Justice et de la Moralisation, Firmin Féïndiro, qui a soutenu le projet de loi a rappelé les conflits ayant durement affecté la sous région au cours des dernières décennies et ayant engendré le commerce et le trafic illicite des armes légères et de petit calibre, dont les corollaires sont les violences et les conflits armés qui créent des conditions propices à l’exploitation illicite des ressources naturelles.
Pour Firmin Féïndiro, les méfaits des armes légères participent à une menace permanente pour la stabilité des Etats et la sécurité des populations.
Le Ministre de la Justice et de la Moralisation a pensé que c’est pour ces différents motifs que les chefs d’Etat des pays concernés ont été amenés à consolider leur volonté en faveur de la paix, de la sécurité et du développement en Afrique centrale.
Le bénéfice pour la République centrafricaine est qu’à l’issue de la ratification de cet instrument juridique, elle pourra jouir de la coopération des autres Etats dans la lutte contre le commerce et le trafic illicite des armes légères dans la sous-région.
Dans leurs interventions, les députés ont évoqué la porosité des frontières nationales et la motivation des militaires censés défendre le territoire national.
Les organes chargés de la mise en œuvre de cette convention sont : le comité consultatif des Nations Unies chargé de la sécurité en Afrique centrale et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).
Les Etats parties sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Démocratique du Congo, Sao Tomé et Principe et la Tchad.
Le Ministre de la Justice et de la Moralisation, Firmin Féïndiro, qui a soutenu le projet de loi a rappelé les conflits ayant durement affecté la sous région au cours des dernières décennies et ayant engendré le commerce et le trafic illicite des armes légères et de petit calibre, dont les corollaires sont les violences et les conflits armés qui créent des conditions propices à l’exploitation illicite des ressources naturelles.
Pour Firmin Féïndiro, les méfaits des armes légères participent à une menace permanente pour la stabilité des Etats et la sécurité des populations.
Le Ministre de la Justice et de la Moralisation a pensé que c’est pour ces différents motifs que les chefs d’Etat des pays concernés ont été amenés à consolider leur volonté en faveur de la paix, de la sécurité et du développement en Afrique centrale.
Le bénéfice pour la République centrafricaine est qu’à l’issue de la ratification de cet instrument juridique, elle pourra jouir de la coopération des autres Etats dans la lutte contre le commerce et le trafic illicite des armes légères dans la sous-région.
Dans leurs interventions, les députés ont évoqué la porosité des frontières nationales et la motivation des militaires censés défendre le territoire national.
Les organes chargés de la mise en œuvre de cette convention sont : le comité consultatif des Nations Unies chargé de la sécurité en Afrique centrale et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).