« Il s’agit des insecticides que nous avons commandés pour la campagne cotonnière 2009-2010, que le gouvernement a mis à notre disposition pour la relance de la culture du coton dans la préfecture de l’Ouham-Pendé », a fait savoir M. Gouandjika.
« Nous avons encore 300 tonnes d’engrais qui doivent arriver pour être acheminées dans l’Ouham-Péndé pour permettre à notre agriculture de s’épanouir », a-t-il annoncé.
« C’est une grande satisfaction, ça va régler les problèmes sociaux et les problèmes économiques, après ils pourront lutter contre les insectes pour les cultures vivrières, pour le sorgho, le maïs et avec toutes les autres cultures », a expliqué M. Féïzouré.
« Au fait, on a fait venir 21.600 litres de produits concentrés car il y a des produits qu-il faut ajouter à l’eau pour pouvoir pulvériser dans les parcelles et ces produits peuvent aller sur une surface de 10.000 hectares en 5 fois afin de protéger toutes les surfaces pratiquées dans l’Ouham-Pendé », a-t-il précisé.
Il faut préciser que l'Ouham-Pendé est la dernière préfecture cotonnière à recevoir des produits insecticides pour la relance de la culture du coton perturbée depuis quelques années en raison des conflits armés dans la partie septentrionale du pays.
« Nous avons encore 300 tonnes d’engrais qui doivent arriver pour être acheminées dans l’Ouham-Péndé pour permettre à notre agriculture de s’épanouir », a-t-il annoncé.
« C’est une grande satisfaction, ça va régler les problèmes sociaux et les problèmes économiques, après ils pourront lutter contre les insectes pour les cultures vivrières, pour le sorgho, le maïs et avec toutes les autres cultures », a expliqué M. Féïzouré.
« Au fait, on a fait venir 21.600 litres de produits concentrés car il y a des produits qu-il faut ajouter à l’eau pour pouvoir pulvériser dans les parcelles et ces produits peuvent aller sur une surface de 10.000 hectares en 5 fois afin de protéger toutes les surfaces pratiquées dans l’Ouham-Pendé », a-t-il précisé.
Il faut préciser que l'Ouham-Pendé est la dernière préfecture cotonnière à recevoir des produits insecticides pour la relance de la culture du coton perturbée depuis quelques années en raison des conflits armés dans la partie septentrionale du pays.