Le ministre d'Etat Cyriaque Gonda lors de la Conférence de presse, Photo-ACAP/Biongo
« La mise en place de ce gouvernement a respecté l’esprit et la lettre des recommandations du Dialogue Politique Inclusif et donc a été ouvert aux entités qui ont participé au processus du DPI »et après « une intense consultation avec les entités et certaines personnes n’étant pas sur-place à Bangui », a-t-il affirmé.
Le ministre d’Etat Cyriaque Gonda a cité notamment le poste de ministre de l’Environnement et de l’écologie qui revient à François Naoyama de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD) de Jean Jacques Démafouth, le ministère de l’Habitat et du logement qui revient à M. Djollo-Djidou de l’Union des forces démocratiques pour le changement (UFDR), du côté des politico-militaire.
Pour se qui concerne l’opposition démocratique, le ministre d’Etat Cyriaque Gonda a nommément cité le 4ème vice président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC) et coordonnateur adjoint du comité d’organisation du DPI, M. André Nalké Dorogo, ministre de la Santé publique, de la population et de lutte contre le sida dans le nouveau gouvernement.
Quant à l’entité Autres partis, il a cité M. Moise Kotayé qui est nommé ministre de la promotion des Petites et moyennes entreprises, du secteur informel et du guichet unique.
La société civile prend quant à elle les ministères délégués au Développement rural, à l’Education et aux Affaires étrangères représentés respectivement par MM. Youssouf Yérima Mandjo, Djibrine Sall et Ambroise Kpongo.
Pour le ministre d’Etat Cyriaque Gonda, la composition du nouveau gouvernement ne devait pas donner lieu à des « supputations », car sa mise en place se situe dans le cadre de la volonté politique du Chef de l’Etat François Bozizé d’appliquer les recommandations consensuelles du DPI.
« Il ne reste que le seul et le point le plus important : le désarmement et la reconversion des ex-combattants en citoyens productifs pour leur pays », a-t-il précisé pour lequel la communauté internationale à travers la Commission de consolidation de la paix est prête pour soutenir la République Centrafricaine.
« Maintenant que nous avons accepté d’enterrer la hache de guerre, il faut que ça soit sur un caillou, sur un socle dur ; le socle c’est l’esprit et la lettre des recommandations adoptées par consensus lors de ce dialogue », a-t-il fait observer.
Le ministre d’Etat Cyriaque Gonda a cité notamment le poste de ministre de l’Environnement et de l’écologie qui revient à François Naoyama de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD) de Jean Jacques Démafouth, le ministère de l’Habitat et du logement qui revient à M. Djollo-Djidou de l’Union des forces démocratiques pour le changement (UFDR), du côté des politico-militaire.
Pour se qui concerne l’opposition démocratique, le ministre d’Etat Cyriaque Gonda a nommément cité le 4ème vice président du Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC) et coordonnateur adjoint du comité d’organisation du DPI, M. André Nalké Dorogo, ministre de la Santé publique, de la population et de lutte contre le sida dans le nouveau gouvernement.
Quant à l’entité Autres partis, il a cité M. Moise Kotayé qui est nommé ministre de la promotion des Petites et moyennes entreprises, du secteur informel et du guichet unique.
La société civile prend quant à elle les ministères délégués au Développement rural, à l’Education et aux Affaires étrangères représentés respectivement par MM. Youssouf Yérima Mandjo, Djibrine Sall et Ambroise Kpongo.
Pour le ministre d’Etat Cyriaque Gonda, la composition du nouveau gouvernement ne devait pas donner lieu à des « supputations », car sa mise en place se situe dans le cadre de la volonté politique du Chef de l’Etat François Bozizé d’appliquer les recommandations consensuelles du DPI.
« Il ne reste que le seul et le point le plus important : le désarmement et la reconversion des ex-combattants en citoyens productifs pour leur pays », a-t-il précisé pour lequel la communauté internationale à travers la Commission de consolidation de la paix est prête pour soutenir la République Centrafricaine.
« Maintenant que nous avons accepté d’enterrer la hache de guerre, il faut que ça soit sur un caillou, sur un socle dur ; le socle c’est l’esprit et la lettre des recommandations adoptées par consensus lors de ce dialogue », a-t-il fait observer.