D’après le Ministre d’Etat à l’Enseignement supérieur, Jean Wilibiro Sacko, le grade de Docteur Honoris Causa est attribué à des personnalités « dont l’engagement et les œuvres s’inscrivent dans l’esprit universitaire ».
Si le Président Bozizé le mérite, cela est dû au fait que son action a permis de sauver l’année académique de l’année dernière. Il a en outre facilité la restauration du statut particulier des enseignants du supérieur ; l’organisation du corps des chercheurs ; les vagues d’intégration des enseignants du supérieur dans la Fonction publique centrafricaine ; la restauration des primes de recherches ; la réhabilitation du laboratoire des sciences ; la construction d’un amphithéâtre de 1.000 places baptisé en son nom ; l’équipement de l’orchestre de l’Université en instruments de musique, etc., à clamé le ministre de l’Enseignement Supérieur.
Au sujet de la leçon inaugurale devant faire de François Bozizé Docteur Honoris Causa, Dr Kitsoro Kinzounza de l’Université Marie Ngouambi du Congo Brazzaville a fait référence aux traditions universitaires de France, au cours desquelles les impétrants prononcent leur premier cours, en présence de la communauté scientifique et d’un large public.
Poursuivant sa leçon, Dr Kitsoro Kinzounza a interpellé les dirigeants des pays de l’Afrique subsaharienne à assumer leurs prérogatives de chef suprême des armées sans négliger celles « de patron des arts, des lettres, de la science et de la technologie ».
Pour entrer dans le thème de l’événement qui est celui de « l’Université de développement », Dr Kitsoro Kinzounza a rappelé l’engagement des chefs d’Etats des pays membres de la CEMAC visant à faire de leur pays respectif des pays émergeant en 2025.
Le Recteur de l’Université de Bangui, Mme Koït née Débalé Georgette, qui a estimé que l’institution qu’elle dirige ne saurait déroger à la tradition d’une rentrée solennelle, a fondée son exposé sur l’une des fables de La Fontaine, le Laboureur et ses enfants, qui conclut que « le travail est un trésor ».
Cependant, pour faire de l’Université de Bangui une « l’Université de développement », Mme Koït-Débalé a fustigé les cerveaux qui fuient le pays et a exhorté les uns et les autres à changer leur logiciel mental.
C’est dans cette perspective qu’elle a demandé les moyens tant humains que financiers pour réussir la nouvelle mission dévolue à l’Université de Bangui.
Si le Président Bozizé le mérite, cela est dû au fait que son action a permis de sauver l’année académique de l’année dernière. Il a en outre facilité la restauration du statut particulier des enseignants du supérieur ; l’organisation du corps des chercheurs ; les vagues d’intégration des enseignants du supérieur dans la Fonction publique centrafricaine ; la restauration des primes de recherches ; la réhabilitation du laboratoire des sciences ; la construction d’un amphithéâtre de 1.000 places baptisé en son nom ; l’équipement de l’orchestre de l’Université en instruments de musique, etc., à clamé le ministre de l’Enseignement Supérieur.
Au sujet de la leçon inaugurale devant faire de François Bozizé Docteur Honoris Causa, Dr Kitsoro Kinzounza de l’Université Marie Ngouambi du Congo Brazzaville a fait référence aux traditions universitaires de France, au cours desquelles les impétrants prononcent leur premier cours, en présence de la communauté scientifique et d’un large public.
Poursuivant sa leçon, Dr Kitsoro Kinzounza a interpellé les dirigeants des pays de l’Afrique subsaharienne à assumer leurs prérogatives de chef suprême des armées sans négliger celles « de patron des arts, des lettres, de la science et de la technologie ».
Pour entrer dans le thème de l’événement qui est celui de « l’Université de développement », Dr Kitsoro Kinzounza a rappelé l’engagement des chefs d’Etats des pays membres de la CEMAC visant à faire de leur pays respectif des pays émergeant en 2025.
Le Recteur de l’Université de Bangui, Mme Koït née Débalé Georgette, qui a estimé que l’institution qu’elle dirige ne saurait déroger à la tradition d’une rentrée solennelle, a fondée son exposé sur l’une des fables de La Fontaine, le Laboureur et ses enfants, qui conclut que « le travail est un trésor ».
Cependant, pour faire de l’Université de Bangui une « l’Université de développement », Mme Koït-Débalé a fustigé les cerveaux qui fuient le pays et a exhorté les uns et les autres à changer leur logiciel mental.
C’est dans cette perspective qu’elle a demandé les moyens tant humains que financiers pour réussir la nouvelle mission dévolue à l’Université de Bangui.