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Selon Célestin Leroy Gaombalet, le Chef de l’Etat François Bozizé a saisi la Cour Constitutionnelle par une lettre en date du 5 mai 2011 aux fins de prendre des dispositions pratiques devant permettre à son suppléant, l’ancien premier ministre Elie Doté de siéger à l’Assemblée nationale. Et que la Cour Constitutionnelle a, par correspondance n° 085/CC/PR/11 du 09 mai 2011, notifié la levée d’option.
Considérant cette démarche, a-t-il dit, « le Président François Bozizé est sans reproche au regard des dispositions constitutionnelles et législatives ».
S’agissant des rumeurs de détournement de deniers publics dont il se serait rendu coupable, Célestin Leroy Gaombalet a fait savoir que l’Assemblée nationale dispose de deux types de sessions : sessions ordinaires et des sessions extra extraordinaires, selon les besoins. Pour lui, les fonds dont il est question ont été donnés aux bénéficiaires qui sont les députés de la 5ème législature lors de leur première session extraordinaire convoquée par le président de la République
Il a pris à témoin le gouvernement qui, d’après lui, a procédé à la vérification des faits et a « donné trente millions de francs CFA au profit des députés de la 5ème législature et du personnel de l’Assemblée nationale ».
En conséquence, « les deux états financiers objets des querelles concernaient deux situations distinctes : les indemnités des députés de la quatrième législature et celles de la session extraordinaire des députés de la cinquième législature », a-t-il expliqué.
Le président de l’Assemblée a relevé que la confusion est née du fait que cet état financier a été transmis au gouvernement quelques jours seulement après le paiement des indemnités des droits revenant aux députés de la 4ème législature ainsi qu’au personnel de l’Assemblée nationale ».
Considérant cette démarche, a-t-il dit, « le Président François Bozizé est sans reproche au regard des dispositions constitutionnelles et législatives ».
S’agissant des rumeurs de détournement de deniers publics dont il se serait rendu coupable, Célestin Leroy Gaombalet a fait savoir que l’Assemblée nationale dispose de deux types de sessions : sessions ordinaires et des sessions extra extraordinaires, selon les besoins. Pour lui, les fonds dont il est question ont été donnés aux bénéficiaires qui sont les députés de la 5ème législature lors de leur première session extraordinaire convoquée par le président de la République
Il a pris à témoin le gouvernement qui, d’après lui, a procédé à la vérification des faits et a « donné trente millions de francs CFA au profit des députés de la 5ème législature et du personnel de l’Assemblée nationale ».
En conséquence, « les deux états financiers objets des querelles concernaient deux situations distinctes : les indemnités des députés de la quatrième législature et celles de la session extraordinaire des députés de la cinquième législature », a-t-il expliqué.
Le président de l’Assemblée a relevé que la confusion est née du fait que cet état financier a été transmis au gouvernement quelques jours seulement après le paiement des indemnités des droits revenant aux députés de la 4ème législature ainsi qu’au personnel de l’Assemblée nationale ».