Ces recommandations sont entre autres le strict respect des accords de paix et la cessation définitive des hostilités, la mise en œuvre de la réforme du secteur de la sécurité (RSS) en cours dans le pays, la mise en œuvre du programme de Désarmement, démobilisation et réinsertion (DDR), l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi de programmation militaire, la restructuration de l’armée, la lutte contre la prolifération des armées légères.
La commission a également recommandé le lancement d’une vaste campagne de sensibilisation des ex-combattants, autorités locales et populations des zones de conflits sur la paix, l’amnistie et les résolutions du Dialogue Politique Inclusif.
Par ailleurs, une des recommandations importantes est la mise en place des mesures d’identification et d’indemnisation des victimes des différents conflits.
Sur ce point, le ministre de la Communication et Coordonnateur du comité d’organisation du DPI, M. Cyriaque Gonda a annoncé la création d’un fonds d’indemnisation qui devrait être alimenté par l’Etat centrafricain et la Communauté internationale.
Il convient de souligner que ces recommandations ont été formulées après l’audition par la commission, des représentants des différents groupes militaro-politiques sur les raisons qui les ont poussées à aller en rébellion.
Les travaux en plénière ont repris mardi 16 décembre 2008 à l'hémicycle de l'Assemblée nationale, sur l’examen du rapport de la commission1 qui a traité des questions politiques et de gouvernance.
La commission a également recommandé le lancement d’une vaste campagne de sensibilisation des ex-combattants, autorités locales et populations des zones de conflits sur la paix, l’amnistie et les résolutions du Dialogue Politique Inclusif.
Par ailleurs, une des recommandations importantes est la mise en place des mesures d’identification et d’indemnisation des victimes des différents conflits.
Sur ce point, le ministre de la Communication et Coordonnateur du comité d’organisation du DPI, M. Cyriaque Gonda a annoncé la création d’un fonds d’indemnisation qui devrait être alimenté par l’Etat centrafricain et la Communauté internationale.
Il convient de souligner que ces recommandations ont été formulées après l’audition par la commission, des représentants des différents groupes militaro-politiques sur les raisons qui les ont poussées à aller en rébellion.
Les travaux en plénière ont repris mardi 16 décembre 2008 à l'hémicycle de l'Assemblée nationale, sur l’examen du rapport de la commission1 qui a traité des questions politiques et de gouvernance.