Le 20 mai de chaque année rappelle l’unification, le 20 mai 1972 des Etats fédéraux du Cameroun dont l’un était anglophone et l’autre francophone. Le thème choisi pour la commémoration de cette année est « armée camerounaise au service d’une nation forte, prospère et résolument tournée vers l’émergence dans un climat d’unité et de paix ».
Evoquant les relations de coopération bilatérale entre les deux pays, le ministre Noël Ramadan a reconnu que le Cameroun reste le premier partenaire de la République Centrafricaine dans la sous région, car c’est son territoire que transitent la plupart des importations et des exportations.
Il a approuvé la volonté du gouvernement camerounais visant à ouvrir un poste consulaire à Bouar afin d’être proche de ses ressortissants implantés dans les préfectures de la Nana Mambéré, l’Ouham Pendé, la Mambéré Kadéï et la Sangha Mbaéré, toutes situées dans l’ouest de la République Centrafricaine.
De son côté, le chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade du Cameroun à Bangui, M. Nicolas Nzoyoum, a prévenu les politiques du contexte actuel de la mondialisation économique caractérisée par une compétition sans merci entre les acteurs majeur de la scène internationale.
D’où, toujours selon lui, ce contexte devrait imposer tant à la République Centrafricaine qu’au Cameroun, de même qu’aux pays de la sous région voire de l’Afrique, la solidarité afin d’éviter la marginalisation qui tente de réduire ces Etats à de simple réservoir de matières premières.
Eu égard aux considérations historiques et géographiques ayant lié la République Centrafricaine et le Cameroun à rester solidaires, M. Nicolas Nzoyoum a pensé que « la fluidité de la circulation des personnes et des biens aux frontières des deux pays devrait bénéficier d’une grande attention afin que soit éradiquer les nombreuses tracasseries que subissent les citoyens ».
Enfin, le chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade du Cameroun en Centrafrique a insisté sur la paix et le dialogue comme condition sine qua non de la transition vers l’émergence, laquelle doit s’asseoir sur des structures politiques stables et solides.
Evoquant les relations de coopération bilatérale entre les deux pays, le ministre Noël Ramadan a reconnu que le Cameroun reste le premier partenaire de la République Centrafricaine dans la sous région, car c’est son territoire que transitent la plupart des importations et des exportations.
Il a approuvé la volonté du gouvernement camerounais visant à ouvrir un poste consulaire à Bouar afin d’être proche de ses ressortissants implantés dans les préfectures de la Nana Mambéré, l’Ouham Pendé, la Mambéré Kadéï et la Sangha Mbaéré, toutes situées dans l’ouest de la République Centrafricaine.
De son côté, le chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade du Cameroun à Bangui, M. Nicolas Nzoyoum, a prévenu les politiques du contexte actuel de la mondialisation économique caractérisée par une compétition sans merci entre les acteurs majeur de la scène internationale.
D’où, toujours selon lui, ce contexte devrait imposer tant à la République Centrafricaine qu’au Cameroun, de même qu’aux pays de la sous région voire de l’Afrique, la solidarité afin d’éviter la marginalisation qui tente de réduire ces Etats à de simple réservoir de matières premières.
Eu égard aux considérations historiques et géographiques ayant lié la République Centrafricaine et le Cameroun à rester solidaires, M. Nicolas Nzoyoum a pensé que « la fluidité de la circulation des personnes et des biens aux frontières des deux pays devrait bénéficier d’une grande attention afin que soit éradiquer les nombreuses tracasseries que subissent les citoyens ».
Enfin, le chargé d’Affaires par intérim à l’Ambassade du Cameroun en Centrafrique a insisté sur la paix et le dialogue comme condition sine qua non de la transition vers l’émergence, laquelle doit s’asseoir sur des structures politiques stables et solides.