Le Conseil d’administration de l’ITIE International des Etats francophones est le principal organe de décision dont les missions visent la définition des grandes orientations politiques de l’initiative au plan mondial, ainsi que les normes minimales à l’intention des gouvernements et des compagnies qui adhèrent à l’initiative ; enfin, de supervision du processus de validation.
M. Robert Moïdokana a fait savoir que c’est à l’issue de la 19ème réunion du Conseil d’administration de l’ITIE Internationale, tenue à Londres en Grande Bretagne, du 14 au 15 février 2012, qu’il a été, au nom de la République Centrafricaine, élu membre cette instance.
Rappelons que la République Centrafricaine a obéi à toutes les exigences dans le domaine de l’ITIE. Ce qui lui a valu progressivement d’être pays candidat, puis pays conforme avant d’accéder au conseil d’administration de cette institution au plan international.
Outre l’Allemagne, la Norvège, les Etats-Unis d’Amérique, la France, la Russie et la Chine, qui sont membres d’honneur du conseil d’administration de l’ITIE, M. Robert Moïdokana siègera au sein de cette instance avec ses pairs de la Grande Bretagne, du Niger, de la Mauritanie, du Nigeria, de l’Albanie, du Timor Lès, etc.
Insistant sur son rôle au conseil d’administration de l’initiative au plan mondial, M. Moïdokana pense que la République Centrafricaine dispose désormais d’un véto vis-à-vis des Etats qui ne remplissent pas les exigences en termes de principes et de critères, de sorte à garantir la gouvernance mondiale dans les secteurs extractifs.
Pour conclure, le Secrétaire Technique de l’ITIE-RCA considère que « le nouveau statut de la République Centrafricaine fait tourner la traditionnelle page de mise en cause à tort sur la gestion transparente des ressources extractives ».
M. Robert Moïdokana a fait savoir que c’est à l’issue de la 19ème réunion du Conseil d’administration de l’ITIE Internationale, tenue à Londres en Grande Bretagne, du 14 au 15 février 2012, qu’il a été, au nom de la République Centrafricaine, élu membre cette instance.
Rappelons que la République Centrafricaine a obéi à toutes les exigences dans le domaine de l’ITIE. Ce qui lui a valu progressivement d’être pays candidat, puis pays conforme avant d’accéder au conseil d’administration de cette institution au plan international.
Outre l’Allemagne, la Norvège, les Etats-Unis d’Amérique, la France, la Russie et la Chine, qui sont membres d’honneur du conseil d’administration de l’ITIE, M. Robert Moïdokana siègera au sein de cette instance avec ses pairs de la Grande Bretagne, du Niger, de la Mauritanie, du Nigeria, de l’Albanie, du Timor Lès, etc.
Insistant sur son rôle au conseil d’administration de l’initiative au plan mondial, M. Moïdokana pense que la République Centrafricaine dispose désormais d’un véto vis-à-vis des Etats qui ne remplissent pas les exigences en termes de principes et de critères, de sorte à garantir la gouvernance mondiale dans les secteurs extractifs.
Pour conclure, le Secrétaire Technique de l’ITIE-RCA considère que « le nouveau statut de la République Centrafricaine fait tourner la traditionnelle page de mise en cause à tort sur la gestion transparente des ressources extractives ».