L’objectif de la première conférence sous régionale de l’ITIE à Bangui est de permettre aux autres pays de la CEMAC de s’inspirer de la démarche et du modèle centrafricains l’ayant conduite successivement du statut de pays candidat à celui de pays conforme et très récemment, son accession au conseil d’administration de l’ITIE Internationale.
Faustin Archange Touadéra a été conscient que la zone CEMAC « est dotée d’importantes ressources minérales et compte parmi les plus riches du monde ». Seulement, a-t-il poursuivi, « ce potentiel important n’a pas contribué efficacement au bien-être de la population de la sous région ». D’où la nécessité de s’approprier la méthodologie ITIE.
Le Ministre des Mines, Obed Namsio, a déclaré que pour aboutir au stade actuel de ses rapports avec l’ITIE, la République Centrafricaine s’est conformée à toutes les exigences de l’organisation. Raison pour laquelle, des six pays membres de la CEMAC, elle seule est pays conforme, répondant aux critères et principes de l’ITIE.
Ces exigences comprennent l’engagement des autorités nationales en matière d’ITIE ; la mise en place des différentes structures nationales de l’ITIE (conseil national, comité de pilotage, secrétariat technique, comités préfectoraux) ; l’implication de la société civile dans le processus ITIE, dont surtout la presse ; enfin, l’élaboration et la dissémination des rapports ITIE.
Dès lors que la démarche ITIE apparaît comme un outil de la bonne gouvernance dans le domaine des industries extractives, son rayonnement dans la zone CEMAC est défendu par M. Jean-Serge Wafio, Commissaire centrafricain de la CEMAC. Il l’inscrit dans la perspective du programme REMAP-CEMAC.
Pour renforcer cette gouvernance, Jean-Serge Wafio a évoqué la disponibilité de la Commission de la CEMAC à mettre à la disposition des pays « les données sur les matières premières » grâce à sa cellule d’informations géologiques.
En outre, toujours selon le Commissaire Wafio, « un code minier communautaire sera élaboré en étroite collaboration avec les Etats membres en vue d’harmoniser le code dans l’espace CEMAC et fixer les standards de transparence et de bonne gouvernance ».
Les partenaires ayant accompagné ces travaux sont : la Banque mondiale, US AID, ITIE Internationale d’Oslo et la Coopération Allemande (GIZ).
Faustin Archange Touadéra a été conscient que la zone CEMAC « est dotée d’importantes ressources minérales et compte parmi les plus riches du monde ». Seulement, a-t-il poursuivi, « ce potentiel important n’a pas contribué efficacement au bien-être de la population de la sous région ». D’où la nécessité de s’approprier la méthodologie ITIE.
Le Ministre des Mines, Obed Namsio, a déclaré que pour aboutir au stade actuel de ses rapports avec l’ITIE, la République Centrafricaine s’est conformée à toutes les exigences de l’organisation. Raison pour laquelle, des six pays membres de la CEMAC, elle seule est pays conforme, répondant aux critères et principes de l’ITIE.
Ces exigences comprennent l’engagement des autorités nationales en matière d’ITIE ; la mise en place des différentes structures nationales de l’ITIE (conseil national, comité de pilotage, secrétariat technique, comités préfectoraux) ; l’implication de la société civile dans le processus ITIE, dont surtout la presse ; enfin, l’élaboration et la dissémination des rapports ITIE.
Dès lors que la démarche ITIE apparaît comme un outil de la bonne gouvernance dans le domaine des industries extractives, son rayonnement dans la zone CEMAC est défendu par M. Jean-Serge Wafio, Commissaire centrafricain de la CEMAC. Il l’inscrit dans la perspective du programme REMAP-CEMAC.
Pour renforcer cette gouvernance, Jean-Serge Wafio a évoqué la disponibilité de la Commission de la CEMAC à mettre à la disposition des pays « les données sur les matières premières » grâce à sa cellule d’informations géologiques.
En outre, toujours selon le Commissaire Wafio, « un code minier communautaire sera élaboré en étroite collaboration avec les Etats membres en vue d’harmoniser le code dans l’espace CEMAC et fixer les standards de transparence et de bonne gouvernance ».
Les partenaires ayant accompagné ces travaux sont : la Banque mondiale, US AID, ITIE Internationale d’Oslo et la Coopération Allemande (GIZ).