POLITIQUE
La construction d’un bureau national de la Banque Africaine de Développement à Bangui est la résultante des réformes initiées le Président Donald Kaberuka dans le cadre de la décentralisation des structures de l’institution, de sorte à marquer une présence permanente de la banque sur le terrain, proche du site des opérations, et, partant, renforcer la coopération entre la banque et l’Etat centrafricain.
Le bureau national de la BAD construit à Bangui et comportant une série de trois immeubles est le 26ème du genre en Afrique et le 13ème dans un Etat sortant des crises politico-militaires.
Pour le Président du groupe de la Banque, le mandat du bureau local de Bangui vise à améliorer la qualité de l’assistance de la banque, à travers des discussions axées sur la préparation de la stratégie d’intervention de la banque. C’est ainsi que pour les cinq années à venir, la stratégie d’intervention entre la banque et la République Centrafricaine portera sur les infrastructures et la bonne gouvernance, lesquels constituent l’ossature du business plan de coopération.
Se prononçant sur la coopération, le Ministre d’Etat par intérim chargé du Plan et de l'Economie, Abdou Karim Meckassoua, a rappelé que depuis 1972, marquant le début des interventions de la BAD en faveur de la République Centrafricaine, quelque 142 milliards ont été octroyés par la banque sous forme de prêts et de dons. L’un des bénéficiaires de ces décaissements de la BAD est, en 1991, l’Energie Centrafricaine (ENERCA), la société de production, de transport et de commercialisation de l’électricité.
Les interventions ciblées de la BAD en République Centrafricaine ont concerné les secteurs des équipements (eau potable et assainissement), de l’agriculture et du développement rural (réhabilitation d’infrastructures rurales), sociaux (développement communautaire et appui aux groupes vulnérables), enfin le secteur des transports, axés sur le corridor Douala - Bangui et Douala - N’Djamena.
Et au fil des années, les interventions de la BAD en faveur de la République Centrafricaine se sont révélées de plus en plus importantes, a conclu Abdou Karim Meckassoua.
Frôlant les expériences du Président du groupe de la Banque, Donald Kaberuka, Abdou Karim Meckassoua l’a présenté comme étant un brillant cadre rwandais, du temps qu’il tenait les commandes des finances de son pays, au point de faire citer son pays en référence des pays en développement, après la fin de la guerre civile.
Donald Kaberuka, actuellement âgé de 60 ans, avait été élu une première fois comme président du groupe de la BAD en l’an 2005 puis un second mandat en 2010 à Abidjan en Côte d’Ivoire.
Le bureau national de la BAD construit à Bangui et comportant une série de trois immeubles est le 26ème du genre en Afrique et le 13ème dans un Etat sortant des crises politico-militaires.
Pour le Président du groupe de la Banque, le mandat du bureau local de Bangui vise à améliorer la qualité de l’assistance de la banque, à travers des discussions axées sur la préparation de la stratégie d’intervention de la banque. C’est ainsi que pour les cinq années à venir, la stratégie d’intervention entre la banque et la République Centrafricaine portera sur les infrastructures et la bonne gouvernance, lesquels constituent l’ossature du business plan de coopération.
Se prononçant sur la coopération, le Ministre d’Etat par intérim chargé du Plan et de l'Economie, Abdou Karim Meckassoua, a rappelé que depuis 1972, marquant le début des interventions de la BAD en faveur de la République Centrafricaine, quelque 142 milliards ont été octroyés par la banque sous forme de prêts et de dons. L’un des bénéficiaires de ces décaissements de la BAD est, en 1991, l’Energie Centrafricaine (ENERCA), la société de production, de transport et de commercialisation de l’électricité.
Les interventions ciblées de la BAD en République Centrafricaine ont concerné les secteurs des équipements (eau potable et assainissement), de l’agriculture et du développement rural (réhabilitation d’infrastructures rurales), sociaux (développement communautaire et appui aux groupes vulnérables), enfin le secteur des transports, axés sur le corridor Douala - Bangui et Douala - N’Djamena.
Et au fil des années, les interventions de la BAD en faveur de la République Centrafricaine se sont révélées de plus en plus importantes, a conclu Abdou Karim Meckassoua.
Frôlant les expériences du Président du groupe de la Banque, Donald Kaberuka, Abdou Karim Meckassoua l’a présenté comme étant un brillant cadre rwandais, du temps qu’il tenait les commandes des finances de son pays, au point de faire citer son pays en référence des pays en développement, après la fin de la guerre civile.
Donald Kaberuka, actuellement âgé de 60 ans, avait été élu une première fois comme président du groupe de la BAD en l’an 2005 puis un second mandat en 2010 à Abidjan en Côte d’Ivoire.
