Le but de cet atelier de deux jours animé par Cécile Plunet, chargée du programme de l’Office des Nations Unies de Lutte contre la Drogue et le Crime (ONUDC), est de doter les experts gouvernementaux en outils d’analyses.
Soulignons qu’avant la fin de cette année, les experts centrafricains seront les interlocuteurs de leurs collègues tunisiens et ghanéens choisis pour évaluer les mesures prises par la République Centrafricaine visant le respect de la convention des Nations Unies en matière de la lutte contre la corruption.
M.Georges Pétro-Koni-Zézé, a fait savoir que dans le domaine de la lutte contre corruption, « des actions significatives ont été menées. C’est le cas, a-t-il souligné, de l’adoption de nouvelles législations comme le Code de Procédure Pénal pour réprimer les auteurs de la corruption, auquel s’ajoute l’organisation des séminaires de formation des cadres de la Fonction Publique en vue de les sensibiliser, de leur inculquer le sens du civisme et de la probité dans l’accomplissement de leur mission de gestion de service public qui cherche l’intérêt général ».
Poursuivant son exposé, Georges Pétro-Koni-Zézé a déclaré que « parmi les mesures prises par le gouvernement pour combattre la corruption, il y a l’Etude sur le système national d’intégrité, réalisée en décembre 2006 ; la mise en place du Comité National de Lutte contre la Corruption le 31 mars 2008 ; la déclaration des patrimoines des membres du gouvernement et des hauts fonctionnaires des institutions de l’Etat et des dirigeants des entreprises publiques ; la mise en place d’un guichet unique et de l’Initiative pour la Transparence dans l’Industrie Extractive (ITIE), etc.
Selon le Vice-président du CNLC, Serge Singa-Béngba, la République Centrafricaine a été sélectionnée par ses pairs pour subir ce qu’on appelle l’examen pays l’expérimentation de cette convention.
Rappelons que la République Centrafricaine en tant que pays membre des Nations Unies a adopté cet instrument juridique international sur la corruption dite aussi Convention de Méride en 2006.
Soulignons qu’avant la fin de cette année, les experts centrafricains seront les interlocuteurs de leurs collègues tunisiens et ghanéens choisis pour évaluer les mesures prises par la République Centrafricaine visant le respect de la convention des Nations Unies en matière de la lutte contre la corruption.
M.Georges Pétro-Koni-Zézé, a fait savoir que dans le domaine de la lutte contre corruption, « des actions significatives ont été menées. C’est le cas, a-t-il souligné, de l’adoption de nouvelles législations comme le Code de Procédure Pénal pour réprimer les auteurs de la corruption, auquel s’ajoute l’organisation des séminaires de formation des cadres de la Fonction Publique en vue de les sensibiliser, de leur inculquer le sens du civisme et de la probité dans l’accomplissement de leur mission de gestion de service public qui cherche l’intérêt général ».
Poursuivant son exposé, Georges Pétro-Koni-Zézé a déclaré que « parmi les mesures prises par le gouvernement pour combattre la corruption, il y a l’Etude sur le système national d’intégrité, réalisée en décembre 2006 ; la mise en place du Comité National de Lutte contre la Corruption le 31 mars 2008 ; la déclaration des patrimoines des membres du gouvernement et des hauts fonctionnaires des institutions de l’Etat et des dirigeants des entreprises publiques ; la mise en place d’un guichet unique et de l’Initiative pour la Transparence dans l’Industrie Extractive (ITIE), etc.
Selon le Vice-président du CNLC, Serge Singa-Béngba, la République Centrafricaine a été sélectionnée par ses pairs pour subir ce qu’on appelle l’examen pays l’expérimentation de cette convention.
Rappelons que la République Centrafricaine en tant que pays membre des Nations Unies a adopté cet instrument juridique international sur la corruption dite aussi Convention de Méride en 2006.