Aux termes d’un communiqué lu vendredi soir sur les ondes de la radio nationale, Bangui indique tirer ainsi les conséquences de la « violation manifeste des principes de paix convenus », faisant allusion au fait que «les rebelles ayant attaqué le Tchad sont partis du territoire soudanais. »
Par ailleurs, Bangui « condamne avec la dernière énergie l’agression du Tchad et l’utilisation du territoire centrafricain par les rebelles » tout en réaffirmant « son attachement à l’accord de Tripoli et son soutien à l’ordre constitutionnel établi au Tchad et incarné par le Président Idriss Déby Itno.»
La décision des autorités centrafricaines intervient 24 heures après l’attaque, jeudi 13 avril, de la capitale tchadienne, N’djaména, attribuée aux rebelles du Front uni pour le changement démocratique (Fuc).
A l’issue de consultations avec les ambassadeurs du Tchad et du Soudan, le 11 avril dernier, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Paul Ngoupandé, avait exprimé dans un communiqué la préoccupation du gouvernement centrafricain au sujet de « l’entrée sur le territoire centrafricain de troupes étrangères non conventionnelles, en l’occurrence les rebelles du Front uni pour le changement (FUC) en provenance du Soudan », rappelle-t-on.
Par ailleurs, Bangui « condamne avec la dernière énergie l’agression du Tchad et l’utilisation du territoire centrafricain par les rebelles » tout en réaffirmant « son attachement à l’accord de Tripoli et son soutien à l’ordre constitutionnel établi au Tchad et incarné par le Président Idriss Déby Itno.»
La décision des autorités centrafricaines intervient 24 heures après l’attaque, jeudi 13 avril, de la capitale tchadienne, N’djaména, attribuée aux rebelles du Front uni pour le changement démocratique (Fuc).
A l’issue de consultations avec les ambassadeurs du Tchad et du Soudan, le 11 avril dernier, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Paul Ngoupandé, avait exprimé dans un communiqué la préoccupation du gouvernement centrafricain au sujet de « l’entrée sur le territoire centrafricain de troupes étrangères non conventionnelles, en l’occurrence les rebelles du Front uni pour le changement (FUC) en provenance du Soudan », rappelle-t-on.