Selon M. Sissoko, « un musicien est un communicateur », précisant que « la musique centrafricaine traverse depuis plus de 20 ans, une crise grave, due aux conditions de vie très difficiles des artistes, réduits à la situation de survie », alors que « la musique centrafricaine n’est pas une sous-musique ».
Il a ensuite déploré le fait que depuis toujours, le musicien centrafricain ne bénéficie pas du fruit de ses efforts. C’est pourquoi a-t-il précisé, « des négociations seront ouvertes avec le gouvernement sur la question des droits d’auteur et l’augmentation de la grille tarifaire de prestation des orchestres, et dans la mesure du possible, demander une mesure de réparation à l’endroit des auteurs afin de les encourager ».
M. Sissoko a déclaré qu’il faudra procéder à la refondation du Bureau centrafricain des droits d’auteur (Bucada) et renouveler les démarches pour le paiement des subventions prévues pour les orchestres.
Il a enfin relevé que dans le but de redonner à la musique centrafricaine sa dynamique, l’Umca envisage d’organiser dans les prochains jours une formation initiatique et professionnelle à l’intention des musiciens centrafricains, avant leur participation à une formation sous régionale destinée à les rendre plus professionnels. Car selon le président, « nombreux sont les centrafricains qui ont opté pour la musique sans en mesurer les contours et contraintes ».
Il a ensuite déploré le fait que depuis toujours, le musicien centrafricain ne bénéficie pas du fruit de ses efforts. C’est pourquoi a-t-il précisé, « des négociations seront ouvertes avec le gouvernement sur la question des droits d’auteur et l’augmentation de la grille tarifaire de prestation des orchestres, et dans la mesure du possible, demander une mesure de réparation à l’endroit des auteurs afin de les encourager ».
M. Sissoko a déclaré qu’il faudra procéder à la refondation du Bureau centrafricain des droits d’auteur (Bucada) et renouveler les démarches pour le paiement des subventions prévues pour les orchestres.
Il a enfin relevé que dans le but de redonner à la musique centrafricaine sa dynamique, l’Umca envisage d’organiser dans les prochains jours une formation initiatique et professionnelle à l’intention des musiciens centrafricains, avant leur participation à une formation sous régionale destinée à les rendre plus professionnels. Car selon le président, « nombreux sont les centrafricains qui ont opté pour la musique sans en mesurer les contours et contraintes ».