Le gouvernement a condamné «ces agissements qui viennent encore compromettre tout effort de relance économique sont révélateurs d’une volonté affichée de perturber durablement le processus de paix engagé ».
Il a également démenti les allégations selon lesquelles « les 482 ex-combattants qui ont déposé les armes et qui sont actuellement pris en compte par le Centre d’instruction militaire de Bouar auraient rejoint les rangs du Front Démocratique du Peuple Centrafricain ».
« Le département voudrait rassurer le public que toutes les dispositions nécessaires sont prises afin d’empêcher une quelconque tentative de déstabilisation du pays d’où qu’elle vienne », ajoute le communiqué.
Cette attaque rebelle intervient une semaine après que la ville de Bossembélé (157 km au nord de Bangui) eut été attaquée par un groupe d’assaillants non identifiés, qui ont investi la caserne de l’armée ainsi que la prison de la localité, permettant à plusieurs détenus, dont une vingtaine de rebelles soudanais, de s’évader.
Il convient de rappeler que le FDPC et le gouvernement centrafricain ont signé, le 2 février 2007 à Syrte, en Libye, un accord de paix prévoyant une cessation des hostilités ainsi que le cantonnement des éléments de ce groupe armé en vue de leur démobilisation.
Il faut également ajouter que le président du FDPC, Abdoulaye Miskine, a pris part à la cérémonie de clôture du Dialogue Politique Inclusif (DPI), forum organisé à Bangui, du 8 au 20 décembre 2008, pour résoudre la crise née de l’existence de plusieurs groupes armés opérant dans le Nord du pays.
Il a également démenti les allégations selon lesquelles « les 482 ex-combattants qui ont déposé les armes et qui sont actuellement pris en compte par le Centre d’instruction militaire de Bouar auraient rejoint les rangs du Front Démocratique du Peuple Centrafricain ».
« Le département voudrait rassurer le public que toutes les dispositions nécessaires sont prises afin d’empêcher une quelconque tentative de déstabilisation du pays d’où qu’elle vienne », ajoute le communiqué.
Cette attaque rebelle intervient une semaine après que la ville de Bossembélé (157 km au nord de Bangui) eut été attaquée par un groupe d’assaillants non identifiés, qui ont investi la caserne de l’armée ainsi que la prison de la localité, permettant à plusieurs détenus, dont une vingtaine de rebelles soudanais, de s’évader.
Il convient de rappeler que le FDPC et le gouvernement centrafricain ont signé, le 2 février 2007 à Syrte, en Libye, un accord de paix prévoyant une cessation des hostilités ainsi que le cantonnement des éléments de ce groupe armé en vue de leur démobilisation.
Il faut également ajouter que le président du FDPC, Abdoulaye Miskine, a pris part à la cérémonie de clôture du Dialogue Politique Inclusif (DPI), forum organisé à Bangui, du 8 au 20 décembre 2008, pour résoudre la crise née de l’existence de plusieurs groupes armés opérant dans le Nord du pays.