Aurélien Simplice Zingas a fait savoir que l’affaire qui l’oppose à Monsieur Cyriaque Dussey se rapporte à la retransmission en direct des images du défilé du 1er décembre 2010, marquant le cinquantenaire de la République Centrafricaine. Seulement, a-t-il dit, il n’existait aucun contrat entre le gouvernement et M. Cyriaque Dussey qui, en tant qu’intermédiaire, avait pourtant empoché la somme de 80 millions FCFA.
Il a expliqué que la facture déposée sur la table du gouvernement par M. Dussey était de 350 millions de FCFA, et que le gouvernement avait rejeté pour ne proposer que100 millions FCFA. Mais finalement, ce ne sont que 80 millions FCFA qui lui ont été décaissés par le Trésor public et remis, sur instruction de M. Dussey à sa femme, Madame Séréfésséné Doraze, notaire.
Le grief des 20 millions FCFA se rapporte à la correspondance de l’ancien ministre chargé du secrétariat du gouvernement, Désiré Nzanga Kolingba à son collègue des finances sollicitant un décaissement de 100 millions FCFA en urgence à M. Dussey destinés à la couverture médiatique du cinquantenaire par la société 3A Télésud. Et France 24.
L’ancien ministre de la jeunesse a soutenu que si par après, le gouvernement avait accepté d’octroyer ce marché à M. Dussey, c’était dans la perspective de sa politique visant à promouvoir « la bourgeoisie nationale ».
Dans les faits, selon Zingas, M. Dussey a sous-traité avec Télésud à qui il a payé 17,5 millions de FCFA et a procédé à la location d’un avion de MINAIR à hauteur de 6,5 millions de FCFA pour aller chercher un appareil de retransmission à Libreville au Gabon. En termes clairs, M. Dussey, en tant qu’intermédiaire, a bénéficié à lui seul de la somme de 56 millions de FCFA.
L’affaire a été portée devant le Médiateur de la République. Et Aurélien Simplice Zingas le prend à témoin : « Eu égard aux preuves que j’ai apportées, M. Dussey a reconnu qu’il a été manipulé par les hommes politiques car autour du Président de la République, il y a une guerre de positionnement », a-t-il dit.
Aurélien Simplice Zingas a conclu qu’il était obligé de rompre le silence en violation de l’obligation de réserve à laquelle il est astreint en tant qu’ancien ministre et présentement député « parce que son honneur a été atteint, sa famille et ses électeurs ont été humiliés ».
Il faut rappeler que Aurélien Simplice Zingas est resté près de six ans au gouvernement comme ministre délégué à l’Education nationale, ministre délégué Porte-parole du gouvernement, ministre intérimaire de la Communication, ministre du Guichet unique, enfin ministre de la Jeunesse, des sports, des arts et de la culture.
Il a expliqué que la facture déposée sur la table du gouvernement par M. Dussey était de 350 millions de FCFA, et que le gouvernement avait rejeté pour ne proposer que100 millions FCFA. Mais finalement, ce ne sont que 80 millions FCFA qui lui ont été décaissés par le Trésor public et remis, sur instruction de M. Dussey à sa femme, Madame Séréfésséné Doraze, notaire.
Le grief des 20 millions FCFA se rapporte à la correspondance de l’ancien ministre chargé du secrétariat du gouvernement, Désiré Nzanga Kolingba à son collègue des finances sollicitant un décaissement de 100 millions FCFA en urgence à M. Dussey destinés à la couverture médiatique du cinquantenaire par la société 3A Télésud. Et France 24.
L’ancien ministre de la jeunesse a soutenu que si par après, le gouvernement avait accepté d’octroyer ce marché à M. Dussey, c’était dans la perspective de sa politique visant à promouvoir « la bourgeoisie nationale ».
Dans les faits, selon Zingas, M. Dussey a sous-traité avec Télésud à qui il a payé 17,5 millions de FCFA et a procédé à la location d’un avion de MINAIR à hauteur de 6,5 millions de FCFA pour aller chercher un appareil de retransmission à Libreville au Gabon. En termes clairs, M. Dussey, en tant qu’intermédiaire, a bénéficié à lui seul de la somme de 56 millions de FCFA.
L’affaire a été portée devant le Médiateur de la République. Et Aurélien Simplice Zingas le prend à témoin : « Eu égard aux preuves que j’ai apportées, M. Dussey a reconnu qu’il a été manipulé par les hommes politiques car autour du Président de la République, il y a une guerre de positionnement », a-t-il dit.
Aurélien Simplice Zingas a conclu qu’il était obligé de rompre le silence en violation de l’obligation de réserve à laquelle il est astreint en tant qu’ancien ministre et présentement député « parce que son honneur a été atteint, sa famille et ses électeurs ont été humiliés ».
Il faut rappeler que Aurélien Simplice Zingas est resté près de six ans au gouvernement comme ministre délégué à l’Education nationale, ministre délégué Porte-parole du gouvernement, ministre intérimaire de la Communication, ministre du Guichet unique, enfin ministre de la Jeunesse, des sports, des arts et de la culture.