Durant 48 heures, les participants ont été édifiés entre autres sur la nécessité de recouper les informations avant leur diffusion afin d’éviter la diffusion des rumeurs dans les médias traditionnels et sur les réseaux sociaux, l’importance de communiquer avant, pendant et après les pourparlers de paix (médiation).
A l’ouverture des travaux, la Représentante résidente du PNUD, Nathalie Boucly, a expliqué que cet atelier est une activité qui s’inscrit dans le cadre du projet de la médiation et le dialogue en Centrafrique, financée par le fonds de consolidation de la paix (PBF) et mis en œuvre par le PNUD.
Il est très important dans le cadre de la médiation et du dialogue d’avoir une presse libre et qui est en mesure de filtrer les informations reçues et de savoir la rendre afin de contribuer à la paix, a-t-elle souligné.
Pour sa part, le rapporteur général du HCC, Vincent Namrona, a indiqué que l’enjeu de cet atelier, c’est qu’il faut que le journaliste soit capable de chercher l’information, de la traiter et de la diffuser ou publier conformément au code d’éthique et de déontologie.
« Nous sommes en période de conflit, il y a des informations qui ne doivent pas être diffusées ou publiées afin de ne pas occasionner des troubles à l’ordre public, d’inciter à la haine ou à la violence », a-t-il poursuivi.
Selon lui, les résultats attendus de cet atelier consistent à faire prendre conscience aux journalistes de leurs responsabilités dans le traitement et la diffusion des informations jugées tendancieuses.
Il convient de rappeler qu’outre la nouvelle loi sur la liberté de la communication qui devrait prendre en compte la question des réseaux sociaux, des voix s’élèvent pour préconiser l'adoption d'une loi qui régulerait la circulation des images sur les réseaux sociaux.
A l’ouverture des travaux, la Représentante résidente du PNUD, Nathalie Boucly, a expliqué que cet atelier est une activité qui s’inscrit dans le cadre du projet de la médiation et le dialogue en Centrafrique, financée par le fonds de consolidation de la paix (PBF) et mis en œuvre par le PNUD.
Il est très important dans le cadre de la médiation et du dialogue d’avoir une presse libre et qui est en mesure de filtrer les informations reçues et de savoir la rendre afin de contribuer à la paix, a-t-elle souligné.
Pour sa part, le rapporteur général du HCC, Vincent Namrona, a indiqué que l’enjeu de cet atelier, c’est qu’il faut que le journaliste soit capable de chercher l’information, de la traiter et de la diffuser ou publier conformément au code d’éthique et de déontologie.
« Nous sommes en période de conflit, il y a des informations qui ne doivent pas être diffusées ou publiées afin de ne pas occasionner des troubles à l’ordre public, d’inciter à la haine ou à la violence », a-t-il poursuivi.
Selon lui, les résultats attendus de cet atelier consistent à faire prendre conscience aux journalistes de leurs responsabilités dans le traitement et la diffusion des informations jugées tendancieuses.
Il convient de rappeler qu’outre la nouvelle loi sur la liberté de la communication qui devrait prendre en compte la question des réseaux sociaux, des voix s’élèvent pour préconiser l'adoption d'une loi qui régulerait la circulation des images sur les réseaux sociaux.