Les autorités centrafricaines, aux côtés de l'ambassadeur camerounais, Nicolas Nzoyoum, en lunette lors de son speech
Le thème de la célébration de cette année est : "l'unité dans la diversité, atout majeur du peuple camerounais dans sa marche vers l'émergence".
Au cours de son discours de circonstance, l'ambassadeur camerounais en République centrafricaine, Nicolas Nzoyoum, a reconnu qu'en dépit des problèmes que rencontre pour l'heure son pays, notamment la crise politique avec les sécessionnistes et les attaques de la secte Boko Haram dans le nord du pays, le pouvoir central est resté dans la perspective d'un Cameroun émergeant, d'ici 2035.
Il a également mentionné l'accompagnement, par le Cameroun, du processus de l'Accord de paix négocié à Khartoum et au Soudan et signé à Bangui le 6 février dernier, de même que sa mise en œuvre.
Il a aussi rappelé la 12ème commission centrafricano-camerounaise, sanctionnée par la signature de nombreux accords et conventions se rapportant à plusieurs domaines de coopération, dont certains s'intéressent à des projets intégrateurs dans le cadre de la CEMAC et de la CEEAC.
A son tour, la ministre centrafricaine des Affaires étrangères et des Centrafricains de l’étranger, Mme. Sylvie Baïpo Témon, a dit sa reconnaissance vis-à-vis du Cameroun, pays ayant participé à la quête de la paix en République centrafricaine, à travers plusieurs organisations telles que la Force multinationale de l'Afrique centrale (FOMAC), une force armée multinationale africaine placée sous l'égide de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC), la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA), sous conduite de l'Union africaine, ayant succédé à la Mission de consolidation de la paix en Centrafrique (MICOPAX) et la mission onusienne en Centrafrique MINUSCA.
Il y a lieu de rappeler qu'avec la crise qu'a connue la République centrafricaine, plus de 276.000 Centrafricains se sont mis à l'abri au Cameroun, dans des camps de réfugiés. Des réflexions tripartites regroupant les gouvernements centrafricain et camerounais et le Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) sont en cours pour le déclenchement de leur rapatriement volontaire.
Au cours de son discours de circonstance, l'ambassadeur camerounais en République centrafricaine, Nicolas Nzoyoum, a reconnu qu'en dépit des problèmes que rencontre pour l'heure son pays, notamment la crise politique avec les sécessionnistes et les attaques de la secte Boko Haram dans le nord du pays, le pouvoir central est resté dans la perspective d'un Cameroun émergeant, d'ici 2035.
Il a également mentionné l'accompagnement, par le Cameroun, du processus de l'Accord de paix négocié à Khartoum et au Soudan et signé à Bangui le 6 février dernier, de même que sa mise en œuvre.
Il a aussi rappelé la 12ème commission centrafricano-camerounaise, sanctionnée par la signature de nombreux accords et conventions se rapportant à plusieurs domaines de coopération, dont certains s'intéressent à des projets intégrateurs dans le cadre de la CEMAC et de la CEEAC.
A son tour, la ministre centrafricaine des Affaires étrangères et des Centrafricains de l’étranger, Mme. Sylvie Baïpo Témon, a dit sa reconnaissance vis-à-vis du Cameroun, pays ayant participé à la quête de la paix en République centrafricaine, à travers plusieurs organisations telles que la Force multinationale de l'Afrique centrale (FOMAC), une force armée multinationale africaine placée sous l'égide de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC), la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA), sous conduite de l'Union africaine, ayant succédé à la Mission de consolidation de la paix en Centrafrique (MICOPAX) et la mission onusienne en Centrafrique MINUSCA.
Il y a lieu de rappeler qu'avec la crise qu'a connue la République centrafricaine, plus de 276.000 Centrafricains se sont mis à l'abri au Cameroun, dans des camps de réfugiés. Des réflexions tripartites regroupant les gouvernements centrafricain et camerounais et le Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) sont en cours pour le déclenchement de leur rapatriement volontaire.