Le Premier-ministre Simplice-Mathieu Sarandji a expliqué que la commémoration de ce 40ème anniversaire de la Journée des Martyrs symbolise non seulement la résistance d’une jeunesse révoltée contre l’injustice sociale, la prédation et l’autoritarisme, mais surtout la prise en main de leur destin dans un environnement en perpétuel mouvement.
Le pays est confronté encore à une adversité dont les ambitions se résument par la capacité nocive des ennemis de la paix de liquider ce qui reste de la nation centrafricaine, a-t-il souligné.
« Nous devrions être reconnaissants de la résistance héroïque des filles et fils de ce pays qui à un moment donné ont bravé la peur pour donner la dignité à leurs parents spoliés et défendre leurs intérêts et avenir menacés », a-t-il poursuivi.
Selon le chef du gouvernement, la célébration de la journée des martyrs doit être réorientée au-delà des aspects festif et émotionnel pour permettre à nos étudiants et élèves d’apprendre et s’approprier cette histoire douloureuse qui demeure un point de repère essentiel pour une jeunesse décidée à prendre en main sa propre destinée.
Il est aujourd’hui capital de réécrire l’histoire de notre pays face à la nouvelle forme de message qui pèse sur la nation toute entière et partant de l’avenir de notre jeunesse soumise à une pression manipulatrice des ennemis de la paix dont le seul objectif demeure la balkanisation de notre pays, a-t-il souligné.
Selon Simplice Mathieu Sarandji, la jeunesse centrafricaine doit être en mesure de faire face aux défis de la reconstruction d’une nation à la sortie de la crise.
Il a émis le vœu que chaque célébration de la journée des martyrs soit considérée par les jeunes centrafricaines et centrafricains comme une nouvelle opportunité de montrer à leurs aînés qu’ils sont toujours à l’avant-garde du combat permanent pour la liberté du pays.
Le président du comité d’organisation de cette journée des martyrs, Junior Gonéndji, a invité les plus hautes autorités du pays à faire en sorte que des documents écrits sur cette époque de l’histoire de la RCA soient disponibles dans les bibliothèques, centres de documentation ou centres d’archives.
Il convient de rappeler que le 18 janvier 1979, une révolte des élèves et étudiants au sujet du port des uniformes dans les établissements d’enseignement était violemment réprimée par les forces de l’ordre, faisant plusieurs victimes.
L’émoi suscité par cette répression conduira au renversement de l’empereur Jean-Bédel Bokassa, le 20 septembre 1979.
Le pays est confronté encore à une adversité dont les ambitions se résument par la capacité nocive des ennemis de la paix de liquider ce qui reste de la nation centrafricaine, a-t-il souligné.
« Nous devrions être reconnaissants de la résistance héroïque des filles et fils de ce pays qui à un moment donné ont bravé la peur pour donner la dignité à leurs parents spoliés et défendre leurs intérêts et avenir menacés », a-t-il poursuivi.
Selon le chef du gouvernement, la célébration de la journée des martyrs doit être réorientée au-delà des aspects festif et émotionnel pour permettre à nos étudiants et élèves d’apprendre et s’approprier cette histoire douloureuse qui demeure un point de repère essentiel pour une jeunesse décidée à prendre en main sa propre destinée.
Il est aujourd’hui capital de réécrire l’histoire de notre pays face à la nouvelle forme de message qui pèse sur la nation toute entière et partant de l’avenir de notre jeunesse soumise à une pression manipulatrice des ennemis de la paix dont le seul objectif demeure la balkanisation de notre pays, a-t-il souligné.
Selon Simplice Mathieu Sarandji, la jeunesse centrafricaine doit être en mesure de faire face aux défis de la reconstruction d’une nation à la sortie de la crise.
Il a émis le vœu que chaque célébration de la journée des martyrs soit considérée par les jeunes centrafricaines et centrafricains comme une nouvelle opportunité de montrer à leurs aînés qu’ils sont toujours à l’avant-garde du combat permanent pour la liberté du pays.
Le président du comité d’organisation de cette journée des martyrs, Junior Gonéndji, a invité les plus hautes autorités du pays à faire en sorte que des documents écrits sur cette époque de l’histoire de la RCA soient disponibles dans les bibliothèques, centres de documentation ou centres d’archives.
Il convient de rappeler que le 18 janvier 1979, une révolte des élèves et étudiants au sujet du port des uniformes dans les établissements d’enseignement était violemment réprimée par les forces de l’ordre, faisant plusieurs victimes.
L’émoi suscité par cette répression conduira au renversement de l’empereur Jean-Bédel Bokassa, le 20 septembre 1979.