Le premier Vice-président de l’Assemblée nationale, représentant personnel du président de la République, Jean-Symphorien Mapenzi, a à l’occasion animé l’échange-débat sur le thème : « Quelle vision pour la jeunesse centrafricaine ? Place des jeunes dans la mise en œuvre de l’accord de paix APPR-RCA ».
Il a souligné avoir retenu qu’il y a un besoin de se parler car la jeunesse a des attentes, ajoutant que c’est à l’occasion de ces échanges qu'il a perçu réellement les attentes de la jeunesse centrafricaine.
S’agissant de ce que font les députés pour les jeunes, l’orateur a fait savoir qu’en tant que législateur, ils ont un projet de loi concernant l’emploi des jeunes qu’ils vont examiner en urgence au niveau du parlement afin qu’une fois voté, cette loi devienne un outil au niveau du gouvernement pour permettre à la jeunesse de s’auto employer.
Il a beaucoup insisté pour que les jeunes soient bien formés avant de prétendre à un quelconque emploi même si on est soi-même son propre patron.
M. Jean-Symphorien Mapenzi a indiqué qu’il sera leur fidèle interprète auprès du chef de l’Etat pour lui dire le mécontentement de la jeunesse qui a le sentiment que le président Touadéra refuse délibérément de répondre à son invitation.
Pour sa part, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Régis-Lionel Dounda, a indiqué avoir fait à Boali une expérience formidable avant d'assurer que la timidité de l’exécutif face aux préoccupations de la jeunesse centrafricaine est du domaine du passé, c’est-à-dire que la jeunesse est au cœur de la politique du gouvernement.
Il a réitéré la gratitude du gouvernement à l’endroit de la communauté internationale et plus particulièrement des agences des Nations-Unies
De son côté, le représentant résident de l’UNFPA, Ouédraogo Koudaongo, qui a pris part à ce débat, a noté la franchise des jeunes, mais a relevé que chaque jeune doit prendre conscience que la formation reçue, les compétences acquises doivent lui permettre de créer son propre entreprise et de contribuer aussi en tant que citoyen au développement de son pays.
Il convient de signaler que la journée internationale de la jeunesse est célébrée à Bangui, en Centrafrique ainsi que dans les villes de Paoua, Kaga-Bandoro et Bambari et que le président de l’association des sourds muets a plaidé pour que l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique soit traduit en langage des sourds muets.
Il a souligné avoir retenu qu’il y a un besoin de se parler car la jeunesse a des attentes, ajoutant que c’est à l’occasion de ces échanges qu'il a perçu réellement les attentes de la jeunesse centrafricaine.
S’agissant de ce que font les députés pour les jeunes, l’orateur a fait savoir qu’en tant que législateur, ils ont un projet de loi concernant l’emploi des jeunes qu’ils vont examiner en urgence au niveau du parlement afin qu’une fois voté, cette loi devienne un outil au niveau du gouvernement pour permettre à la jeunesse de s’auto employer.
Il a beaucoup insisté pour que les jeunes soient bien formés avant de prétendre à un quelconque emploi même si on est soi-même son propre patron.
M. Jean-Symphorien Mapenzi a indiqué qu’il sera leur fidèle interprète auprès du chef de l’Etat pour lui dire le mécontentement de la jeunesse qui a le sentiment que le président Touadéra refuse délibérément de répondre à son invitation.
Pour sa part, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Régis-Lionel Dounda, a indiqué avoir fait à Boali une expérience formidable avant d'assurer que la timidité de l’exécutif face aux préoccupations de la jeunesse centrafricaine est du domaine du passé, c’est-à-dire que la jeunesse est au cœur de la politique du gouvernement.
Il a réitéré la gratitude du gouvernement à l’endroit de la communauté internationale et plus particulièrement des agences des Nations-Unies
De son côté, le représentant résident de l’UNFPA, Ouédraogo Koudaongo, qui a pris part à ce débat, a noté la franchise des jeunes, mais a relevé que chaque jeune doit prendre conscience que la formation reçue, les compétences acquises doivent lui permettre de créer son propre entreprise et de contribuer aussi en tant que citoyen au développement de son pays.
Il convient de signaler que la journée internationale de la jeunesse est célébrée à Bangui, en Centrafrique ainsi que dans les villes de Paoua, Kaga-Bandoro et Bambari et que le président de l’association des sourds muets a plaidé pour que l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique soit traduit en langage des sourds muets.