L’objectif de cette rencontre est d’échanger sur les différentes crises que traverse le pays et rechercher des solutions adéquates et idoines pour le bien-être du peuple centrafricain.
Selon le premier ministre Félix Moloua, la République Centrafricaine traverse une crise sur plusieurs plans et que la rencontre initiée par la BEAC est une opportunité pour débattre avec les acteurs clés de l’économie cette question, afin de trouver une réponse rapide et durable aux difficultés que rencontre le pays.
Le chef du gouvernement s'est dit satisfait des échanges qui ont porté sur les questions de la pénurie du carburant, la question de l’augmentation vertigineuse des denrées alimentaires, la question de l’augmentation du coût de vie et les questions liées au manque de contrôle des prix sur le marché.
Selon lui, cette crise que traverse le pays est la conséquence de la guerre en Ukraine. Aucun pays au monde n’est épargné de cette crise Russo-Ukrainien. Mais avant cela, la République Centrafricaine était déjà en crise, notamment dans le domaine de la sécurité pour laquelle le Président de la République s’investit et également la crise sanitaire avec l’avènement du COVID-19.
Sur la question du carburant, le Premier ministre reconnait que les longues queues dans les stations traduisent la réalité qu'il y a effectivement problème de carburant en Centrafrique.
« J’ai toujours dit que ce gouvernement est un gouvernement de résultat, et la rencontre d’aujourd’hui a offert un cadre de débat de haut niveau qui va permettre au gouvernement d’alimenter les discussions sur les actions à mener, sur des pistes que nous abordant déjà », a déclaré le chef du gouvernement.
Au-delà de la question de carburant, il a évoqué la question d’insécurité alimentaire qui est prise en compte par le Président de la République qui a donné des orientations et qui ont permis au gouvernement de travailler sur les solutions à apporter pour apaiser la souffrance des concitoyens, confirmant que pour ces questions, des contacts sont déjà prises avec des pays amis afin de mettre en place des mécanismes pouvant minimiser ces différentes crises.
« Cette période de crise va nous permettre de poser de bonnes bases pour un véritable décollage, car des mesures salvatrices seront prises par le gouvernement », a-t-il martelé.
Selon le premier ministre Félix Moloua, la République Centrafricaine traverse une crise sur plusieurs plans et que la rencontre initiée par la BEAC est une opportunité pour débattre avec les acteurs clés de l’économie cette question, afin de trouver une réponse rapide et durable aux difficultés que rencontre le pays.
Le chef du gouvernement s'est dit satisfait des échanges qui ont porté sur les questions de la pénurie du carburant, la question de l’augmentation vertigineuse des denrées alimentaires, la question de l’augmentation du coût de vie et les questions liées au manque de contrôle des prix sur le marché.
Selon lui, cette crise que traverse le pays est la conséquence de la guerre en Ukraine. Aucun pays au monde n’est épargné de cette crise Russo-Ukrainien. Mais avant cela, la République Centrafricaine était déjà en crise, notamment dans le domaine de la sécurité pour laquelle le Président de la République s’investit et également la crise sanitaire avec l’avènement du COVID-19.
Sur la question du carburant, le Premier ministre reconnait que les longues queues dans les stations traduisent la réalité qu'il y a effectivement problème de carburant en Centrafrique.
« J’ai toujours dit que ce gouvernement est un gouvernement de résultat, et la rencontre d’aujourd’hui a offert un cadre de débat de haut niveau qui va permettre au gouvernement d’alimenter les discussions sur les actions à mener, sur des pistes que nous abordant déjà », a déclaré le chef du gouvernement.
Au-delà de la question de carburant, il a évoqué la question d’insécurité alimentaire qui est prise en compte par le Président de la République qui a donné des orientations et qui ont permis au gouvernement de travailler sur les solutions à apporter pour apaiser la souffrance des concitoyens, confirmant que pour ces questions, des contacts sont déjà prises avec des pays amis afin de mettre en place des mécanismes pouvant minimiser ces différentes crises.
« Cette période de crise va nous permettre de poser de bonnes bases pour un véritable décollage, car des mesures salvatrices seront prises par le gouvernement », a-t-il martelé.