Le chef du Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique Centrale, Abou Moussa a indiqué que la rencontre de Bangui a pour but de permettre aux gouvernements des pays membres de l’UNSAC, de faire un état des lieux de la situation géopolitique et sécuritaire en Afrique centrale, afin de prendre des mesures pour prévenir les conflits en vue de consolider la paix dans la sous région.
« L’autre objectif spécifique est de sensibiliser les autorités de la sous région sur la nécessité de boucler le processus de ratification et de la mise en œuvre de ce document stratégique », a souligné Abou Moussa.
Selon Abou Moussa, il est question de passer en revue les différents conflits dans la sous région, dont la question de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) qui est considérée comme des terroristes par l’Union Africaine (UA) et qui sévit notamment sur le territoire de la République Centrafrique, de la République Démocratique du Congo, en Ouganda et au Sud Soudan.
Il a signifié que toutes les questions sur l’insécurité transfrontalière vont être également abordées au cours de cette 33ème session.
Par ailleurs, Abou Moussa a encouragé les pays membres du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale à s’impliquer davantage dans ce combat, en contribuant financièrement au Fonds d’affection spéciale du Comité.
Il a réitéré la disponibilité de l’UNOCA à accompagner les Etats de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) dans la mise en œuvre de leurs politiques et dispositifs en matière de prévention et de résolution pacifique des conflits.
Il convient de noter que la 33ème de réunion de Bangui mobilisera une cinquantaine de participants des pays membres de l’UNSAC, notamment l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Démocratique du Congo, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad.
Il est à rappeler qu’en 2002, Bangui avait abrité la réunion ministérielle du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale.
« L’autre objectif spécifique est de sensibiliser les autorités de la sous région sur la nécessité de boucler le processus de ratification et de la mise en œuvre de ce document stratégique », a souligné Abou Moussa.
Selon Abou Moussa, il est question de passer en revue les différents conflits dans la sous région, dont la question de l’Armée de Résistance du Seigneur (LRA) qui est considérée comme des terroristes par l’Union Africaine (UA) et qui sévit notamment sur le territoire de la République Centrafrique, de la République Démocratique du Congo, en Ouganda et au Sud Soudan.
Il a signifié que toutes les questions sur l’insécurité transfrontalière vont être également abordées au cours de cette 33ème session.
Par ailleurs, Abou Moussa a encouragé les pays membres du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale à s’impliquer davantage dans ce combat, en contribuant financièrement au Fonds d’affection spéciale du Comité.
Il a réitéré la disponibilité de l’UNOCA à accompagner les Etats de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) dans la mise en œuvre de leurs politiques et dispositifs en matière de prévention et de résolution pacifique des conflits.
Il convient de noter que la 33ème de réunion de Bangui mobilisera une cinquantaine de participants des pays membres de l’UNSAC, notamment l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Démocratique du Congo, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad.
Il est à rappeler qu’en 2002, Bangui avait abrité la réunion ministérielle du Comité consultatif permanent des Nations Unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale.