Le but de cette session est de faire l’état de mise en œuvre des résolutions adoptées lors des précédentes sessions, d’examiner le rapport de conjoncture qui a mis en évidence l’évolution récente de l’environnement économique international, la conjoncture économique nationale et de définir les perspectives macroéconomiques de l’année 2022.
Pour ce qui est de l’environnement économique international, le comité a noté un ralentissement d’activité économique mondiale en raison des effets néfastes de la guerre entre la Russie et l’Ukraine et de la pandémie de la COVID-19.
Selon les dernières prévisions du Fonds Monétaire international publiées en avril 2022, la croissance mondiale a connu un ralentissement pour s’établir à 3,6% en 2022 au lieu de 4,4% initialement prévu, contre 6,1% en 2021.
Au niveau national, les membres du CNEF ont pris acte de la poursuite de la reprise des activités économiques à la fin du mois d’avril 2022, consécutive à un repli des tensions sécuritaires et sanitaires.
En ce qui concerne les perspectives économiques pour l’année en cours, les membres du CNEF ont constaté une baisse de la croissance du Produit Intérieur Brut réel qui s’établirait à 0,8% en 2022 au lieu de 4,3% initialement projeté, contre 1,1% en 2021, avec également un maintien des tensions inflationnistes, ajouté à cela une diminution du niveau de déficit budgétaire base engagement.
Les membres du CNEF ont pris note de la situation du système bancaire au 30 avril 2022, de celle du secteur de la micro-finance à fin mars 2022 et de la situation du marché financier régional à fin juin 2022.
Enfin, le CNEF a pris connaissance de la situation du taux effectif global au premier trimestre 2022 qui a mis en exergue la persistance du coût élevé des crédits bancaires en République Centrafricaine.
Notons que le gouverneur de la BEAC, le secrétaire général adjoint de la COBAC, le responsable du dépositaire central du marché financier de l’Afrique centrale ont pris part à cette session ordinaire par visioconférence.
Pour ce qui est de l’environnement économique international, le comité a noté un ralentissement d’activité économique mondiale en raison des effets néfastes de la guerre entre la Russie et l’Ukraine et de la pandémie de la COVID-19.
Selon les dernières prévisions du Fonds Monétaire international publiées en avril 2022, la croissance mondiale a connu un ralentissement pour s’établir à 3,6% en 2022 au lieu de 4,4% initialement prévu, contre 6,1% en 2021.
Au niveau national, les membres du CNEF ont pris acte de la poursuite de la reprise des activités économiques à la fin du mois d’avril 2022, consécutive à un repli des tensions sécuritaires et sanitaires.
En ce qui concerne les perspectives économiques pour l’année en cours, les membres du CNEF ont constaté une baisse de la croissance du Produit Intérieur Brut réel qui s’établirait à 0,8% en 2022 au lieu de 4,3% initialement projeté, contre 1,1% en 2021, avec également un maintien des tensions inflationnistes, ajouté à cela une diminution du niveau de déficit budgétaire base engagement.
Les membres du CNEF ont pris note de la situation du système bancaire au 30 avril 2022, de celle du secteur de la micro-finance à fin mars 2022 et de la situation du marché financier régional à fin juin 2022.
Enfin, le CNEF a pris connaissance de la situation du taux effectif global au premier trimestre 2022 qui a mis en exergue la persistance du coût élevé des crédits bancaires en République Centrafricaine.
Notons que le gouverneur de la BEAC, le secrétaire général adjoint de la COBAC, le responsable du dépositaire central du marché financier de l’Afrique centrale ont pris part à cette session ordinaire par visioconférence.