Cette commémoration est organisée pour se souvenir de la mémoire de plus d’un million des tutsi qui ont perdu la vie parce qu’ils sont simplement nés tutsi.
Selon le chef de mission du Rwanda, Monsieur Olivier Kayumba, plus de 60 ans auparavant, le colonisateur avait développé la théorie de diviser pour mieux régner sur cette nation Rwandaise dont l’administration et la cohésion ne plaisaient pas au colonisateur qui a tout fait pour faire comprendre aux Rwandais qu’ils étaient différents, l’un étranger et l’autre dominateur.
Il a rappelé l’historique de ce génocide qui a commencé avec des tueries à petite échelle dès les années 1959 pour culminer au génocide de 1994. 28 ans après, la plaie provoquée reste toujours béante.
Le chef de mission Rwandaise a confirmé que le génocide n’a pas été causé par l’attentat de l’avion du président Juvénal Habyarimana car la cour de cassation en France a définitivement écarté cette thèse le 15 février 2021.
« Le génocide est plutôt le fruit d’une classification, d’une symbolisation, d’une déshumanisation, d’une organisation, d’une polarisation et d’une extermination comme passage à l’acte avant la négation », a déclaré Monsieur Olivier Kayumba.
Il a déclaré que cette commémoration permet de ne pas oublier et pour saluer la mémoire des victimes, saluer la dignité des survivants aussi pour saluer la détermination et la capacité du peuple Rwandais à s’unir et à se réconcilier et pour tourner le regard vers l’avenir et continuer l’élan du renouveau du pays.
« Aujourd’hui, le Rwanda se reconstruit dans un total respect de droit de l’homme et aussi avec des barrières pour préserver l’unité de son peuple tel que le prévoit sa constitution », a réitéré Monsieur Kayumba.
Concernant la mémoire des victimes, le chef de mission a relevé que le Rwanda félicite les pays qui ont pu ériger des stèles commémoratives ou encore réaliser tout autre acte pour ce faire.
En réponse, le ministre des Affaires Etrangères, de la Francophonie et des Centrafricains de l’Etranger, Sylvie Baïpo Temon a au nom du peuple centrafricain partagé cette journée consacrée à la mémoire de l’histoire.
« Histoire du Rwanda, mais également l’histoire de l’Afrique, sujette de l’horreur, de la servitude, de l’esclavage, de la traite, de la colonisation, du génocide avec son lot de traitement criminel et inhumain sur toutes ses formes jusqu’à l’apothéose du génocide où l’incroyable barbarie de l’homme sur l’homme s’est produit en ce 20e siècle », a rappelé le ministre des Affaires étrangères.
Selon Mme Sylvie Baïpo Temon, il est important que le peuple centrafricain puisse se tenir aux côtés du peuple Rwanda pour célébrer cette journée gravé à jamais dans la mémoire à travers le monde.
Elle a déclaré que la présence du Président de la République, Faustin Archange Touadera à cette cérémonie témoigne l’attachement et le signe du lien de la fraternité du peuple centrafricain aux côtés de leurs frères et sœurs du Rwanda.
« En cette journée, nous nous souvenons de tous ceux qui ont perdu leur vie lors de cet horrible caprice de l’homme sur son prochain pour des raisons d’ordre ethnique et raciste », a-t-elle- déclaré.
Rappelons que la 28eme commémoration de cette année est placée sous le thème de « Mémoire-Unité et Renouveau » et a été symbolisé par l’allumage des bougies de mémoires par le Président de la République, Faustin Archange Touadera et le chef de mission du Rwanda, Olivier Kayumba.
Selon le chef de mission du Rwanda, Monsieur Olivier Kayumba, plus de 60 ans auparavant, le colonisateur avait développé la théorie de diviser pour mieux régner sur cette nation Rwandaise dont l’administration et la cohésion ne plaisaient pas au colonisateur qui a tout fait pour faire comprendre aux Rwandais qu’ils étaient différents, l’un étranger et l’autre dominateur.
Il a rappelé l’historique de ce génocide qui a commencé avec des tueries à petite échelle dès les années 1959 pour culminer au génocide de 1994. 28 ans après, la plaie provoquée reste toujours béante.
Le chef de mission Rwandaise a confirmé que le génocide n’a pas été causé par l’attentat de l’avion du président Juvénal Habyarimana car la cour de cassation en France a définitivement écarté cette thèse le 15 février 2021.
« Le génocide est plutôt le fruit d’une classification, d’une symbolisation, d’une déshumanisation, d’une organisation, d’une polarisation et d’une extermination comme passage à l’acte avant la négation », a déclaré Monsieur Olivier Kayumba.
Il a déclaré que cette commémoration permet de ne pas oublier et pour saluer la mémoire des victimes, saluer la dignité des survivants aussi pour saluer la détermination et la capacité du peuple Rwandais à s’unir et à se réconcilier et pour tourner le regard vers l’avenir et continuer l’élan du renouveau du pays.
« Aujourd’hui, le Rwanda se reconstruit dans un total respect de droit de l’homme et aussi avec des barrières pour préserver l’unité de son peuple tel que le prévoit sa constitution », a réitéré Monsieur Kayumba.
Concernant la mémoire des victimes, le chef de mission a relevé que le Rwanda félicite les pays qui ont pu ériger des stèles commémoratives ou encore réaliser tout autre acte pour ce faire.
En réponse, le ministre des Affaires Etrangères, de la Francophonie et des Centrafricains de l’Etranger, Sylvie Baïpo Temon a au nom du peuple centrafricain partagé cette journée consacrée à la mémoire de l’histoire.
« Histoire du Rwanda, mais également l’histoire de l’Afrique, sujette de l’horreur, de la servitude, de l’esclavage, de la traite, de la colonisation, du génocide avec son lot de traitement criminel et inhumain sur toutes ses formes jusqu’à l’apothéose du génocide où l’incroyable barbarie de l’homme sur l’homme s’est produit en ce 20e siècle », a rappelé le ministre des Affaires étrangères.
Selon Mme Sylvie Baïpo Temon, il est important que le peuple centrafricain puisse se tenir aux côtés du peuple Rwanda pour célébrer cette journée gravé à jamais dans la mémoire à travers le monde.
Elle a déclaré que la présence du Président de la République, Faustin Archange Touadera à cette cérémonie témoigne l’attachement et le signe du lien de la fraternité du peuple centrafricain aux côtés de leurs frères et sœurs du Rwanda.
« En cette journée, nous nous souvenons de tous ceux qui ont perdu leur vie lors de cet horrible caprice de l’homme sur son prochain pour des raisons d’ordre ethnique et raciste », a-t-elle- déclaré.
Rappelons que la 28eme commémoration de cette année est placée sous le thème de « Mémoire-Unité et Renouveau » et a été symbolisé par l’allumage des bougies de mémoires par le Président de la République, Faustin Archange Touadera et le chef de mission du Rwanda, Olivier Kayumba.