Organisé par le ministère de la justice en partenariat avec le Fonds mondial, la formation regroupe des magistrats et professionnels du droit, des médecins et sociologues en vue d’identifier les différentes formes de violation et autres problèmes liés à la protection des droits des orphelins et autres enfants rendus vulnérables par le VIH/Sida, de maîtriser et connaître les principaux outils de suivi évaluation du secteur de la justice mis en place dans le cadre de ce programme.
M. Baïgo Dari en ouvrant la formation a déclaré que la protection et la promotion des droits de l’enfant sont une préoccupation constante du gouvernement de la République Centrafricaine.
« En raison de leur jeune âge et de leur particulière vulnérabilité, les enfants méritent une protection spécifique », a dit M. Baïgo, précisant que « lorsqu’il s’agit d’orphelins et autres enfants rendus vulnérables par le VIH/Sida, cette protection doit être accrue ».
Il a indiqué que la majorité de ces enfants sont en grande partie victimes de violation grave de leurs droits.
Il a par ailleurs déclaré que ces enfants sont le plus souvent victimes de spoliation des biens laissés par leurs défunts parents, soit de discrimination, d’abus sexuel et diverses formes d’exploitation, contribuant ainsi à accroître le phénomène des enfants de la rue.
En dépit des efforts consentis par le gouvernement Centrafricain, le VIH/Sida continue de se propager au sein de la population, plaçant la RCA au dixième rang dans le monde et au premier rang dans la sous région d’Afrique centrale avec un taux de séroprévalence de 15%.
Selon l’ONUSIDA, le nombre des orphelins et autres enfants rendus vulnérables par le VIH/Sida en Centrafrique passe de 110.000 en 2003 à 274.400 en 2005.
M. Baïgo Dari en ouvrant la formation a déclaré que la protection et la promotion des droits de l’enfant sont une préoccupation constante du gouvernement de la République Centrafricaine.
« En raison de leur jeune âge et de leur particulière vulnérabilité, les enfants méritent une protection spécifique », a dit M. Baïgo, précisant que « lorsqu’il s’agit d’orphelins et autres enfants rendus vulnérables par le VIH/Sida, cette protection doit être accrue ».
Il a indiqué que la majorité de ces enfants sont en grande partie victimes de violation grave de leurs droits.
Il a par ailleurs déclaré que ces enfants sont le plus souvent victimes de spoliation des biens laissés par leurs défunts parents, soit de discrimination, d’abus sexuel et diverses formes d’exploitation, contribuant ainsi à accroître le phénomène des enfants de la rue.
En dépit des efforts consentis par le gouvernement Centrafricain, le VIH/Sida continue de se propager au sein de la population, plaçant la RCA au dixième rang dans le monde et au premier rang dans la sous région d’Afrique centrale avec un taux de séroprévalence de 15%.
Selon l’ONUSIDA, le nombre des orphelins et autres enfants rendus vulnérables par le VIH/Sida en Centrafrique passe de 110.000 en 2003 à 274.400 en 2005.