Organisées avec l’appui technique et logistique du fond mondial et du ministère de la santé, ces formations s’inscrivent dans le cadre de la stratégie national de lutte contre le vih/sida, qui consiste à améliorer les conditions de vie des personnes vivant avec cette affection et à réduire leur mortalité, à travers la prise en charge globale, par l’extension et le renforcement de l’accès aux arv et aux médicaments pour la prévention des maladies opportunistes.
Durant cinq jours, ces participants se focaliseront particulièrement sur les stratégies d’utilisation des molécules, le suivi clinique et biologique, la consultation d’observance afin d’acquérir les formations nécessaires à la collecte et au traitement des données.
Le directeur de cabinet par intérim au ministère de la Santé, M Jean Pierre Waboé, a déclaré que malgré de multiples formations, le ratio médecin/malades demeure encore faible à cause du nombre élevé de malades, d’où la nécessité de décentraliser et d’adapter les modèles cliniques en impliquant les paramédicaux capables de suivre un malade sous arv en vue de prescrire le traitement des affections opportunistes.
La République Centrafricaine, pays classé parmi les pays les plus pauvres du monde, est confrontée à une forte prévalence de l’épidémie du vih, avec une prévalence de 6,2% et une prédominance chez les femmes, ce qui constitue un frein au développement.
Durant cinq jours, ces participants se focaliseront particulièrement sur les stratégies d’utilisation des molécules, le suivi clinique et biologique, la consultation d’observance afin d’acquérir les formations nécessaires à la collecte et au traitement des données.
Le directeur de cabinet par intérim au ministère de la Santé, M Jean Pierre Waboé, a déclaré que malgré de multiples formations, le ratio médecin/malades demeure encore faible à cause du nombre élevé de malades, d’où la nécessité de décentraliser et d’adapter les modèles cliniques en impliquant les paramédicaux capables de suivre un malade sous arv en vue de prescrire le traitement des affections opportunistes.
La République Centrafricaine, pays classé parmi les pays les plus pauvres du monde, est confrontée à une forte prévalence de l’épidémie du vih, avec une prévalence de 6,2% et une prédominance chez les femmes, ce qui constitue un frein au développement.