L’objectif de ce débat sur le thème : « Unité, réconciliation et vivre ensemble » est d’encourager les Centrafricains à faire allusion aux idéaux du Président Barthélemy Boganda contenus dans la devise de la République Centrafricaine, à savoir : unité, dignité et travail ainsi que son programme politique bâti autour des « Cinq verbes » de son parti le Mouvement pour l’Evolution Sociale de l’Afrique Noire qui sont : loger, nourrir, vêtir éduquer et soigner.
Zacharie Gounoumounjou a rappelé que l’unité promue par feu Président Barthélémy Boganda s’impose aux personnes appartenant à diverses ethnies qui ne sont rien d’autres que la diversité culturelle.
Le ciment de l’unité, a fait savoir Zacharie Gounoumounjou, est la langue Sango, parlée tant sur le territoire centrafricain qu’en dehors de ce pays, plus particulièrement dans les pays voisins. D’où il faut mettre un accent sur ce lien pour consolider l’unité entre les Centrafricains et leur esprit du vivre-ensemble.
En plus de ces variables, Zacharie Gounoumounjou a insisté sur le rétablissement de la sécurité, qui devrait nécessairement passer par le processus du Désarmement, Démobilisation et Réinsertion des ex-combattants.
Pour le chef du Département de la Psychopédagogie, Jean Zoninguera, l’alphabétisation et la formation des jeunes sont indispensables pour réduire le chômage et combattre la pauvreté.
D’après lui, c’est la politique d’exclusion qui est à l’origine des maux qui minent la société centrafricaine, poussant les jeunes à douter de leur avenir et à opter pour les solutions de facilité en se servant des armes de guerre. Malheureusement, il a déploré le budget alloué à l’éducation, qui est fréquemment revu à la baisse.
Jean Zoninguera a préconisé l’emploi comme réponse à la sécurité et à la paix durable. Mais pas dans le désordre. C’est pourquoi, il a préconisé l’adéquation entre la formation et l’emploie, surtout dans les domaines agricoles, commerciaux et industriels.
Jean Zoninguera a aussi évoqué le dédommagement des victimes de la dernière crise grâce à l’institution d’une commission : vérité, justice et réparation en vue d’accélérer la réconciliation.
Il a fait savoir que le niveau de vie des centrafricains est très bas faisant allusion aux salaires que gagnent les fonctionnaires centrafricains qui, selon lui ne procurent pas satisfaction.
En somme, a-t-il insisté « pour donner la confiance aux people centrafricains, il fait nécessairement la sécurité et l’emploie pour toute la population centrafricaine ».
Zacharie Gounoumounjou a rappelé que l’unité promue par feu Président Barthélémy Boganda s’impose aux personnes appartenant à diverses ethnies qui ne sont rien d’autres que la diversité culturelle.
Le ciment de l’unité, a fait savoir Zacharie Gounoumounjou, est la langue Sango, parlée tant sur le territoire centrafricain qu’en dehors de ce pays, plus particulièrement dans les pays voisins. D’où il faut mettre un accent sur ce lien pour consolider l’unité entre les Centrafricains et leur esprit du vivre-ensemble.
En plus de ces variables, Zacharie Gounoumounjou a insisté sur le rétablissement de la sécurité, qui devrait nécessairement passer par le processus du Désarmement, Démobilisation et Réinsertion des ex-combattants.
Pour le chef du Département de la Psychopédagogie, Jean Zoninguera, l’alphabétisation et la formation des jeunes sont indispensables pour réduire le chômage et combattre la pauvreté.
D’après lui, c’est la politique d’exclusion qui est à l’origine des maux qui minent la société centrafricaine, poussant les jeunes à douter de leur avenir et à opter pour les solutions de facilité en se servant des armes de guerre. Malheureusement, il a déploré le budget alloué à l’éducation, qui est fréquemment revu à la baisse.
Jean Zoninguera a préconisé l’emploi comme réponse à la sécurité et à la paix durable. Mais pas dans le désordre. C’est pourquoi, il a préconisé l’adéquation entre la formation et l’emploie, surtout dans les domaines agricoles, commerciaux et industriels.
Jean Zoninguera a aussi évoqué le dédommagement des victimes de la dernière crise grâce à l’institution d’une commission : vérité, justice et réparation en vue d’accélérer la réconciliation.
Il a fait savoir que le niveau de vie des centrafricains est très bas faisant allusion aux salaires que gagnent les fonctionnaires centrafricains qui, selon lui ne procurent pas satisfaction.
En somme, a-t-il insisté « pour donner la confiance aux people centrafricains, il fait nécessairement la sécurité et l’emploie pour toute la population centrafricaine ».