« Je voudrais m’adresser à tous les Centrafricains de toute tendance religieuse, de toute dénomination politique, de toute dénomination ethnique de s’asseoir autour de la table avec le Président François Bozizé, pour dialoguer », a déclaré l’ancien président nigérian, qui a invité tous les partenaires au processus du Dialogue Politique Inclusif à comprendre qu’il n’y a « rien à gagner dans la division ».
« C’est à travers le dialogue qu’on peut trouver la solution à tous les problèmes, il n’y a rien qui soit impossible dans le monde », a encore déclaré M. Obasanjo.
La visite à Bangui de l’ancien président du Nigéria intervient 3 semaines après que 3 groupes rebelles signataires d’un accord de paix avec le gouvernement et l’Union des Forces Vives de la Nation (UFVN, opposition démocratique) aient suspendu leur participation au processus de dialogue pour protester contre le dépôt sur le bureau de l’Assemblée Nationale de 3 projets de loi d’amnistie censés favoriser la tenue à Bangui du Dialogue Politique Inclusif.
Peu après leur décision, des affrontements entre l’armée et des éléments de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD, rébellion) ont été signalés dans le Nord-ouest du pays, amenant M. François Lonsény Fall, Représentant du Secrétaire général de l’Onu à exprimer sa « grande préoccupation ».
Il convient de rappeler que le gouvernement centrafricain a signé, le 21 juin 2008, à Libreville, au Gabon, un accord global de paix avec l’APRD et l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR).
« C’est à travers le dialogue qu’on peut trouver la solution à tous les problèmes, il n’y a rien qui soit impossible dans le monde », a encore déclaré M. Obasanjo.
La visite à Bangui de l’ancien président du Nigéria intervient 3 semaines après que 3 groupes rebelles signataires d’un accord de paix avec le gouvernement et l’Union des Forces Vives de la Nation (UFVN, opposition démocratique) aient suspendu leur participation au processus de dialogue pour protester contre le dépôt sur le bureau de l’Assemblée Nationale de 3 projets de loi d’amnistie censés favoriser la tenue à Bangui du Dialogue Politique Inclusif.
Peu après leur décision, des affrontements entre l’armée et des éléments de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie (APRD, rébellion) ont été signalés dans le Nord-ouest du pays, amenant M. François Lonsény Fall, Représentant du Secrétaire général de l’Onu à exprimer sa « grande préoccupation ».
Il convient de rappeler que le gouvernement centrafricain a signé, le 21 juin 2008, à Libreville, au Gabon, un accord global de paix avec l’APRD et l’Union des Forces Démocratiques pour le Rassemblement (UFDR).