L’objectif de cette visite est de prendre contact avec les acteurs de la CPS, et aussi de voir comment fonctionne cette juridiction, les défis qui l’attend.
Le Chef du département de de la Justice a souligné que « cette visite de travail a permis d’échanger avec les acteurs de cette juridiction qui ont énuméré des préoccupations qui feront l’objet d’un mémorandum qui va être transmis en mon cabinet en vue d’examiner au niveau du comité de pilotage qui aura lieu en septembre prochain».
« Avant 2022, nous allons assister à la première audience de la CPS, car, il y’a déjà une douzaine de dossiers qui sont en état d’être jugés et d’autres sont au niveau du cabinet de Juge d’instruction », a précisé le ministre d’Etat Abazene.
Le membre du gouvernement a signifié que la CPS est une cour pénale internationale en miniature, dont le respect des textes par tous les acteurs de la chaine pénale est indispensable, notamment les droits des victimes, les droits des témoins et les droits des accusés.
« Le travail de la CPS est de participer à l’éradication du phénomène d’impunité, à la stabilité et à une paix durable en Centrafrique », a soutenu le ministre de la Justice.
Il est à signaler que la Cour pénale spéciale a vu le jour après les crises militaro-politiques qui ont secoué la République Centrafricaine depuis 2013.
Le Chef du département de de la Justice a souligné que « cette visite de travail a permis d’échanger avec les acteurs de cette juridiction qui ont énuméré des préoccupations qui feront l’objet d’un mémorandum qui va être transmis en mon cabinet en vue d’examiner au niveau du comité de pilotage qui aura lieu en septembre prochain».
« Avant 2022, nous allons assister à la première audience de la CPS, car, il y’a déjà une douzaine de dossiers qui sont en état d’être jugés et d’autres sont au niveau du cabinet de Juge d’instruction », a précisé le ministre d’Etat Abazene.
Le membre du gouvernement a signifié que la CPS est une cour pénale internationale en miniature, dont le respect des textes par tous les acteurs de la chaine pénale est indispensable, notamment les droits des victimes, les droits des témoins et les droits des accusés.
« Le travail de la CPS est de participer à l’éradication du phénomène d’impunité, à la stabilité et à une paix durable en Centrafrique », a soutenu le ministre de la Justice.
Il est à signaler que la Cour pénale spéciale a vu le jour après les crises militaro-politiques qui ont secoué la République Centrafricaine depuis 2013.